Schéma de désintégration

Cards (75)

  • Les schémas représentent les principaux éléments radioactifs et leurs éléments fils.
  • L’orientation de la flèche désigne le type de désintégration radioactive.
  • En s'intéressant aux activités A (que les noyaux radioactifs), on obtient un diagramme différent.
  • À tout moment, N1+N2+N3 = N0.
  • Si l’élément père a une période très longue par rapport à l’élément fils, très rapidement, l’activité du fils devient constante et égale à celle du père : c’est l’équilibre séculaire.
  • N3, étant pas radioactif, n'y a pas d'activité.
  • La relation énergie/masse de l’oxygène 18 avec ses 8 protons chargés négativement est égale à : We - = énergie de liaison de l’électron qui est négligeable ici.
  • N2 augmente, atteint un plateau puis diminue.
  • La résolution du système d'équations différentielles est complexe, mais le résultat peut être représenté sous forme de graphique.
  • L’énergie du positon est égale à : E β+.
  • Pour que cette émission soit possible, E β+ doit être positive.
  • La quantité d'éléments fils et de noyaux stables en fonction du temps est estimée en fonction de leurs constantes radioactives λ1 et λ2.
  • Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme
  • La masse du fluor 18 avec ses 9 protons est égale à la masse de l’oxygène 18 avec ses 8 protons + la masse du positon + l’énergie cédée.
  • A2 passe par un maximum au temps tm.
  • N1 diminue selon une exponentielle décroissante qui part de N0.
  • Durant le laps de temps considéré, des noyaux stables sont apparus en quantité identique au nombre de désintégrations du noyau fils N2.
  • Le niveau d’énergie ou la différence de masse entre le fluor 18 et l’oxygène 18 doit être supérieure à 1,022 MeV.
  • N3 est une fonction croissante stricte.
  • Fluor 18 : désintégration β+ en oxygène 18 qui est un isotope naturel stable de l’oxygène 16.
  • La désintégration est la transformation d’un noyau père en un noyau fils.
  • Le cobalt 60 émet un électron β− et 2 émissions gamma : Y1* et Y2*.
  • Le molybdène 99 utilise plusieurs voies de désintégration β−.
  • Le technétium 99m métastable se désintègre en technétium 99 métastable (demi-vie de 67h).
  • Le technétium 99m métastable est élué tous les jours et désintègre en technétium 99 (demi-vie de 6h) qui le rend compatible avec les explorations des processus physiologiques et pathologiques.
  • L’isomérie gamma est le fait que des noyaux émettent un rayonnement retardé, similaire à la phosphorescence.
  • La désintégration est isobarique si le nombre de masse A ne change pas, comme dans le cas de la désintégration β− ou β+.
  • Le noyau de baryum n’est pas dans une situation stable car un réarrangement de ses nucléons est à l’origine d’une émission d’un rayonnement gamma d’énergie 0,662 MeV.
  • Le sens de désignation de la désintégration du nombre de protons.
  • La filiation radioactive est le fait que le noyau père X se désintègre en noyau Y qui peut être radioactif (désintégration), ou dans un état métastable (excité).
  • Dans 8% des cas, le césium 137 émet une particule β− avec une énergie = 1,176 MeV.
  • Le molybdène 99, après une désintégration β−, se retrouve dans un état métastable.
  • Le technétium 99m métastable a pour élément père le molybdène 99.
  • Le photon gamma (140 keV) est détecté par la scintigraphie.
  • Le césium 137 émet une particule β− avec une énergie = 0,514 MeV dans 92% des cas.
  • La désintégration nucléaire est la réorganisation des nucléons du noyau d’un niveau d’énergie élevé vers un niveau d’énergie plus bas, ce qui conduit à l’émission d’un rayonnement gamma.
  • La désintégration est non isobarique si le nombre de masse A change, comme dans le cas de la désintégration α.
  • Les isomères du nickel émettent des photons gamma de 1,17 et 1,33 MeV.
  • La désintégration est la transformation d’un noyau père en un noyau fils.
  • N3 n’étant pas radioactif, il n’y a pas d’activité.