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Cards (164)

  • Concernant la glycolyse, Les enzymes présentes dans la phase de préparation sont : l'hexokinase, la phosphohexose isomérase, la phosphofructo kinase, l'aldolase et la triose phosphate isomérase.
  • En centrifugation basse vitesse (1000g), nous obtenons dans le culot : cellules entières, noyau  et le cytosquelette
  • La centrifugation de haute vitesse (80000g) dure 60 min
  • concernant la glycolyse, L'étape 3 est une étape très contrôlée et régulée, elle va s'adapter aux besoins énergétiques de la cellule.
  • Le 3-phosphoglycérate devient du 2-phosphoglycérate grâce à la phosphoglycérate mutase.
  • La phénylalanine et la tyrosine absorbent fortement dans l'UV et la tyrosine et la sérine sont phosphorylable.
  • si un peptide ne possède pas de résidu asparagine donc il ne peut pas être N-glycosylé.
  • s'il n'y a pas de résidus lysine ou arginine, la trypsine ne peut couper ce peptide.
  • glycine et proline favorisent la formation de coudes et boucles.
  • Le remplacement d'une alanine par une asparagine favorise la N-glycosylation.
  • Le groupement inositol est un cycle carboné polyhydroxylé donc très polaire.
  • La synthèse hépatique de triglycéride fait intervenir une molécule phosphorylée: Le glycérol-phosphate.
  • L'acide alpha-linolénique possède un nombre impair (3) d'insaturations donc n'est pas linéaire, mais plutôt en forme de « J ».
  • le clivage de la phosphatidylsérine par la phospholipase C libère un diacylglycérol (DAG) et une sérine phosphorylée. La phospholipase D libère un acide phosphatidique et une sérine.
  • on peut phosphorylée les acides aminés à fonction alcool tel la sérine, la thréonine ou la tyrosine. 
  • Un variant est caractérisé par 2 paramètres : sa fréquence et son caractère pathogène.
  • Les glycérophospholipides sont tous constitués un acide phosphatidique.
  • Les sphingomyélines sont constituées d'une céramide (= sphingosine + AG) et d'une phosphorylcholine.
  • Les eicosanoïdes, dérivés de certains AG insaturés, sont des médiateurs très actifs ayant des rôles physiologiques et physiopathologiques importants.
  • La phospholipase C permet la libération d'un diacylglycérol (DAG) et un phosphoryl-X dont l'inositol-P.
  • La phosphatidyl-choline, autrement appelée lécithine, a un rôle d'émulsionnant.
  • Les éicosanoïdes sont des médiateurs dans la contraction des muscles lisses.
  • L'ubiquinone a deux fonctions qui peuvent être oxydées ou réduites. Cela lui permet de transporter un à deux électrons dans la chaine respiratoire (ubiquinone = navette électronique)
  • C'est effectivement la structure primaire du brin sens qui est reproduite lors de la transcription mais c'est le brin antisens qui est parcouru par l'ARN polymérase pour créer le transcrit primaire par complémentarité des bases. Le brin antisens est bien parcouru dans le sens 3'-->5' car le transcrit est synthétisé dans le sens 5'-->3'
  • la synthèse est toujours dans le sens 5'-->3' et par conséquent le brin parcouru (antisens) l'est toujours dans le sens 3'-->5' car la transcription se fait par complémentarité des bases et on sait que les 2 brins de l'ADN sont "en sens inverse" (le 3' d'un brin en face du 5' de l'autre et inversement)
  • Les acides gras oméga 6 présentent une première double liaison à 6 carbones de l'extrémité ω
  • L'acide linoléique a un point de fusion inférieur à l'acide oléique car il a 2 doubles liaisons et l'acide oléique n'en a qu'une (ils ont le même nombre de carbone).Or, le point de fusion augmente si la longueur de la chaîne aliphatique augmente, et baisse si le nombre de doubles liaisons augmente.
  • C'est la lipoprotéine lipase qui permet l'entrée des acides gras dans les tissus.
  • L'ARN polymérase II parcourt le brin ANTI-sens dans le sens 3'5' etle nouveau brin est synthétisé dans le sens 5'--> 3'
  • L'ajout d'une queue poly A revient à l'ajout d'environ 500 à 2000 d'adénylates à l'extrémité 3'.
  • La myoglobine est riche en hélices alpha
  • le groupement prosthétique est un groupement NON peptidique
  • Le feuillet beta favorise une structure plane, tandis que les hélices alpha favorisent une forme globulaire (ou sphérique) dans la globalité.
  • La P50 de la myoglobine est relativement faible, ainsi elle ne permet pas le transport d'oxygène contrairement à l'hémoglobine.
  • le 2.3 DPG est un métabolite relargué par les cellules musculaires lors d'un effort par exemple, et il est nécessaire pour favoriser le phénomène de coopérativité au niveau de l'hémoglobine pour qu'elle relargue l'O2 au niveau du tissu musculaire.
  • Une baisse locale de la pO2 ainsi qu'une augmentation de l'acidité sont en faveur de l'effet Bohr.
  • La roténone inhibe le complexe I de la chaîne respiratoire mitochondriale. C'est aussi le cas de l'amytal.
  • Le cyanure est un inhibiteur du complexe IV de la chaîne respiratoire mitochondriale, et donc de la chaîne toute entière ; les produits du cycle de Krebs habituellement consommé par cette chaîne s'accumulent donc (par exemple le succinate), ce qui va ralentir puis inhiber le cycle de Krebs.
  • L'oligomycine est un inhibiteur du complexe V mais n'est pas un découplant (elle ne dissipe pas le gradient de protons).
  • La présence de dinitrophénol induit la production de chaleur.