KR ECO

Subdecks (5)

Cards (271)

  • La France est une république démocratique parlementaire avec un gouvernement de forme présidentielle.
  • Le régime présidentiel monocaméral est un système parlementaire à une seule chambre.
  • Le bicamérisme ou bicaméralisme est un système d’organisation politique qui divise le Parlement en deux chambres distinctes, une chambre haute et une chambre basse.
  • Le président de la Corée du Sud est élu pour un seul mandat de 5 ans par le suffrage universel.
  • Le président qui est à l'initiative de la modification de cette clause constitutionnelle sur le nombre du mandat n'a pas le droit de se présenter après sa mandature, pour la prévention contre les éventuelles dictatures que l'Histoire de Corée a connues.
  • Le Palais du Bourbon est le bâtiment qui abrite l’Assemblée nationale française, situé sur le quai d’Orsay dans le 7ème arrondissement de Paris.
  • Les présidents de la république coréenne de 1948 à aujourd’hui sont : Gouvernement provisoire à Shanghaï en Chine (1919-1945), Occupation américaine et soviétique, appelée aussi “Espace Libération” (1945-1948), Première république/ 1e-3e présidents (1948-1960), Rhee Syngman (1875-1990), Yun Po-sun (1897-1990), Deuxième République/ 4e Président, Park Chung-hee (1917-1979), Troisième république 5e-9e Présidents, Park Chung-hee (1972-1980), Quatrième République/ Park Chung-hee10e président, Choi Kyu-hah (1919-2006) ⟶ 11e président, Chun Doo-Hwan (1931-2021).
  • La période d’absence d’un gouvernement constitutionnel (1961-1963) gouverné par le Conseil suprême de la reconstruction nationale (19 mai) a vu la junte dissoudre le Parlement, suspendre toute activité politique, créer le Conseil suprême de la reconstruction nationale, et Park devint son président après avoir écarté le général Jang Do-young, qui avait occupé ce poste avant lui.
  • Le mandat de la présidence de la 3e République (1936-1972) fut marqué par l'essor économique sous le gouvernement de Park Chung-hee.
  • Park Chung-hee, le 5e président, resta au pouvoir pendant 18 ans, jusqu'à sa mort en 1979.
  • Son administration visait à assurer la stabilité politique et à accomplir la tâche historique de redressement national, à travers des efforts dans les domaines socio-économiques et surtout par l’intermédiaire d’un solide leadership présidentiel.
  • En mars 1962, le président Yun Po-son 유보선 fut contraint de démissionner, et Park Jung-hee devint président de la République par intérim (1961-1963).
  • Park Chung-hee est considéré comme un dictateur militaire.
  • Park fit adopter par le référendum du 17 décembre 1962, une nouvelle Constitution restaurant le système présidentiel (3e république).
  • Park fut élu président de la République en octobre 1963 avec 46.6% des voix, contre Yun Po-son (45,1%), et son parti, le Parti républicain공화당, obtint la majorité aux élections générale le mois suivant.
  • Les changements sociaux et économiques rapides incitèrent le Président Park à choisir un gouvernement centralisé fort.
  • Park Chung-hee était un phénomène dans la société coréenne.
  • Les États-Unis ont d’ailleurs indirectement soutenu la répression sanglante à Gwangju en mai 1980, ce qui provoqua la première vague de sentiment anti-américain en Corée du Sud.
  • Au milieu des années 1980, une série de manifestations antidictatoriales virulentes ont été organisées.
  • C’est au cours de l’élection présidentielle tenue en décembre 1987 que Roh Tae-woo 노태우, ancien général et ami de Chun, fut élu Président.
  • Choi Kyu-hah démissionna en août 1980 et Chun Doo-hwan fut alors élu président par un collège électoral restreint pour un seul mandat de 7 ans.
  • Les manifestations antidictatoriales virulentes poussèrent le gouvernement à amender la constitution pour permette l’élection du président au suffrage direct permettant une transition pacifique du pouvoir et donnant lieu à une démocratisation politique.
  • Désemparé face à l’ampleur des contestations, le pouvoir présentera une déclaration en 8 points prévoyant le rétablissement du suffrage universel direct pour l’élection du chef de l’Etat, l’amnistie de nombreux opposants politiques (dont Kim Dae-jung), des mesures en faveur de la liberté de la presse et la liberté d’action des partis politiques.
  • La présidence de Chun fut marquée par une poursuite du développement économique, mais également par un fort endettement et une répression forte contre les mouvements syndicaux.
  • Tous les régimes autoritaires ont bénéficié plus ou moins fortement du soutien américain.
  • Le mandat de la présidence de la 6e République s’est achevé le 24 février 1988.
  • Nommé chef des services secrets en avril 1980, Chun dirigea la répression sanglante contre la prolongation de la loi martiale et la nouvelle autorité militaire.
  • Exigeant la vérité sur la mort de l’étudiant Park Jong-cheol 박종철 le 14 janvier 1987 après son arrestation par la police, un comité spéciale a organisé le 3 mars une « grande marche pacifique nationale pour l’abolition de la torture et la démocratisation »
  • En 1987, le pays fit face à une nouvelle crise sociale et politique déclenchée par la mort d’un étudiant au cours d’un interrogatoire de police.
  • Un coup d’Etat est à nouveau conduit le 12 décembre 1979 par le général Chun Doo-hwan.
  • Park Chung-hee était un vrai opportuniste et admirateur du Japon.
  • Park a écarté les patriotes en faveur des collaborateurs pro-japonais qui sont toujours au pouvoir avec une grande fortune.
  • L’assassinat du Park Chung-hee a débouché sur une période de transition marquée par une loi martiale décrétée par le président Choi Kyu-hah 최규하 qui était en fonction du premier ministre.
  • Park a été né à Gumi, une petite ville du Gyeongsang du Nord, près de Daegu, le 30 septembre 1917.
  • Sous l’occupation japonaise, Park Jung-hee a porté également les noms de Takaki Masao et Okamoto Minoru.
  • Park a permis le régime dictatorial en vue de la construction de son royaume à l’instar de Kim Il-sung.
  • Park Chung-hee a été abattu à coups de révolver par Kim Jae-gyu 김재규, chef de la CIA coréenne, dans la soirée du 26 octobre 1979.
  • Pour dissimuler son implication dans le mouvement communistes au sud, soutenu par Kim Il-sung 김일성, Park a adopté une politique anti-communiste 반공 qui suscite des obstacles à l’unification des deux Corées.
  • Le gouvernement de Choi (1979-1980) a eu pour mandat présidentiel le 6 décembre 1979-16 août 1980.
  • Le gouvernement de Chun Doo-hwan (le 27 août 1980- le 24 février 1981) a pour mandat présidentiel le 27 août 1980- le 24 février 1981.