Les ressources allouées à la recherche, à la documentation et à la commémoration du génocide tsigane ont été considérablement limitées.
Manque d'investissement financier => conséquences directes sur la collecte et la préservation des témoignages, des archives et des documents historiques liés au génocide tsigane.
Ce peu de documents a contribué à maintenir la mémoire des Tsiganes dans l'ombre, en laissant de nombreux aspects de leur histoire méconnus ou peu documentés.
A cause du manque d’investissement et du peu de place que prends ce sujet dans les débats public ou politiques beaucoup ne connaissent pas le génocide tsigane.
Les programmes éducatifs, les musées et les monuments commémoratifs ont souvent omis ou sous-représenté le génocide tsigane, ce qui a contribué à sa marginalisation dans la mémoire collective.
Les médias et les institutions publiques ont parfois minimisé l'ampleur de la tragédie tsigane.
Pour réparer ces lacunes historiques et rendre hommage aux victimes tsiganes, il est nécessaire d'avoir :
Une allocation accrue de ressources
Une sensibilisation systématique
Une intégration plus profonde du génocide Tsigane dans le discours mémoriel mondial