La promotion de la recherche sur le génocide tsigane bénéficie de collaborations internationales entre institutions académiques, organisations de droits de l'homme et musées.
Ces collaborations facilitent l'accès aux archives, encouragent le partage d'informations et renforcent la dimension globale de la recherche.
Grâce aux ouverturesde plusieurs centres d’archives en Europe, des documents, tels que des photographies ou des lettres, sont importants pour documenter ce génocide.
Ces documents fournissent des preuves concrètes sur les conditions de vie dans les camps, les déplacements forcés et les actes de violence => contextualiser l'ampleur du génocide.
Des survivants du génocide tsigane ont partagé leurs expériences à travers des témoignages oraux et écrits.
Les récits personnels offrent des perspectives uniques sur les souffrances endurées, les pertes subies et la lutte pour la survie.
Les témoignages contribuent à humaniser le génocide et à transmettre la mémoire de la tragédie.
Des conférences et des colloques sont organisés pour promouvoir la recherche sur le génocide tsigane. Ils offrent aux chercheurs une plateforme pour présenter leurs travaux et échanger de leurs idées. Ils permettent une meilleure compréhension du génocide.