système nerveux périphérique: transport de l’information dans les 2 sens
système nerveux somatique: mouvement, proprioception, perception, sensation
système nerveux autonome: fonctions vitales involontaires => digestion, endocrinien, cardio-vasculaire
système parasympathique = ralentisseur
système sympathique = accélérateur
quel est le centre de coordination du système nerveux autonome ?
hypothalamus et bulbe rachidien
substance grise: dans le cortex, hypothalamus, thalamus, tronc cérébral et moelle épinière
que contient la substance grise ?
corps cellulaires des neurones
Que contient la substance blanche ?
axones
Les cellules gliales assurent la protection et la nutrition des neurones. Elles possèdent énormément de jonctions de communication.
neurones: 50-100 milliards, ne se reproduisent pas, longue longévité, excitables, métabolisme important
Neurones sensitifs: directement reliés aux organes des sens, transmission de l’information SNP —> SNC
Neurones moteurs: ordres de motricité SNC —> muscles
Neurones d’association ou interneurones: ni sensoriels ni moteurs = jonction entre les deux autres types de neurones => permettent de complexifier les réponses nerveuses
Dendrites = récepteur de l’information = voies afférentes
Axone = émetteur de PA sur de longues distance sans perte d’amplitude = voie éfferentes
Contacts des neurones avec les cellules cibles: Boutons terminaux ou Boutons en passant
12 nerfs craniaux et 31 paires de nerfs spinaux
Les nerfs spinaux sont formés par l’anastomose d’une racine antérieure et d’une racine postérieure issues de la moelle épinière.
La moelle épinière est constituée de neurones et de cellules gliales. Elle transmet les messages nerveux du cerveau vers le reste du corps (et vice versa) via les nerfs spinaux et assure également le contrôle de certains réflexes sans passer par le cerveau.
réflexe monosynaptique: nerf sensitif afférent —> synapse unique dans la moelle épinière —> nerf moteur éfferent
réflexe polysynaptique: voie sensitive afférente —> interneurone —> voies motrices éfferentes activatrice et inhibitrice ET transmission au SNC
Quel est le potentiel de repos d’un neurone ?
-70 mV
À combine se dépolarisent les neurones ?
+30 mV
A quel ion est dû la dépolarisation des neurones ?
Na
A quel ion est dû la repolarisation des neurones ?
K
un stimulus infraliminaire n’atteint pas le seuil permettant de déclencher un potentiel d’action.
les stimulus supraliminaire dépassent le seuil de dépolarisation ce qui déclenche un potentiel d’action.
Période réfractaire absolue: la cellule est en état d’excitation maximal (dépolarisation). Si un stimulus arrive à ce moment là, un PA ne peut pas être déclenché.
Période réfractaire relative: le neurone est en repolarisation/dépolarisation. Le stimulus devra être plus fort pour déclencher un PA et son amplitude sera diminuée.
A quoi sert la myéline ?
le PA saute d’un noeud de Ranvier à l’autre => conduction saltatoire ce qui accélère la conduction électrique et économise de l’énergie et de l’espace
PPSE: neurotransmetteur excitateur induit une dépolarisation = entrée de Na+
PPSI: neurotransmetteur inhibiteur induit une hyperpolarisation = entrée de Cl-
Chaque neurone est connecté à beaucoup de terminaisons présynaptiques et reçoit à la fois des PPSE et PPSI. La réponse dépend donc de la somme de ces potentiels postsynaptiques => Si plus d'excitation que d'inhibition dépolarisation (au-delà du seuil) = influx et inversément
Synapse chimique: PA —> dépolarisation —> ouverture canaux Ca voltage-dépendants —> exocytose vésicules présynaptiques —> fixation neurotranmetteur sur les récepteurs post-synaptiques —> ouverture des canaux ioniques chimio-dépendants —> dépolarisation de la membrane = propagation du PA
Comment peut-on moduler la douleur ?
Si le neurone inhibiteur est actif, le neurone d’association devient moins sensible = plus difficile à dépolariser => influx différent supplémentaire plus important ou plus rapide => Toucher plus rapide que la douleur => douleur atténuée
comment est transmise l’information dans les synapses électriques ?
bidirectionnel à travers les gap junctions permettant la synchronisation de l’activité de populations de cellules