Boisbrun 1

Cards (23)

  •  Liaisons covalentes : 40-140 kcal/mol (rare)
    La liaison covalente est la plus riche en énergie. 
  • Le résidu Cystéine permet une activité médiée par l’activation d’une liaison covalente (rare), c’est un phénomène irréversible.
  • Liaisons ioniques :
    Une charge négative et une charge positive s’associent
  • Liaisons hydrogène :
    Accepteurs de liaison H : tous les C=O (ou NRR’) de la molécule ou de la protéine.
    Donneurs de liaison H : résidus d’acides aminés à chaine latérale à protons mobiles.
  • -        Liaisons hydrophobes : 1kJ/mol, ce sont les moins riches en énergie. 
  • Analyse des protéines par diffraction des rayons X 
    Tout d’abord, il faut isoler les protéines pures puis obtenir des cristaux (très dur à obtenir). Une protéine est beaucoup plus complexe qu’une simple molécule, d’où la difficulté.
  • Analyse des protéines par diffraction des rayons X : 
    Les rayons X bombardent le cristal qui émet des spectres de diffraction en créant des interférences. Avec des calculs et des traitements informatiques on va pouvoir remonter la structure tridimensionnelle résolue. 
  • Les appareils de diffraction
  • Peptidoglycane : sucre et un peptide
  • Glycane : Polymère de G et M
  • Les pénicillines agissent en interférant dans le peptidoglycane.
  • Les peptides se fixent sur le sucre M qui possède en position 3 un acide muramique COOH, il permet de greffer des AA grâce a des enzymes différentes pour chaque ajout d’AA. La lysine possède une longue chaine latérale avec un NH2 libre ce qui permet de se lier à l’alanine d’un autre peptidoglycane. 
  • La pénicilline est un faux substrat de la D-Ala D-Ala
  • La pénicilline est un faux substrat de la D-Ala D-Ala est elle est un substrat suicide qui est supposé être dégradé par la PLP, la dernière l° ne se fait pas donc on ne forme plus de pepticoglycane
  • Qu'est-ce ?Chlororure d'acyl
  • Les pénicillines : C’est des B-lactame. Les esters cycliques sont des lactones et le Béta correspond à sa taille.
  • Pour qu’une liaison amide soit stable dans un cycle, il faudrait de la mésomérie 
  • Le Béta lactame est instable car le premier groupement nucléophile qui va passer va taper dessus 
  • C’est la réactivité du cycle Béta-lactame qui donne son activité aux pénicillines 
  • L’alcool de sérine est nucléophile, il va pouvoir attaquer le cycle, et c’est ce qui va donner son activité aux pénicillines 🡪 pénicilline est un substrat qui va se faire ouvrir 
    C’est parce qu’elle est instable qu’elle est inactive.
     
  • L’isolement du 6-APA est loin d’être évident : 
    L’amine, est stable, on va donc faire de la tautomérie grâce à l’acylase 🡪 elle va cliver là où c’est stable (amine) sans casser la liaison où c’est fragile (amide) 
  • Les pénicillines sont souvent peu stables dans l’eau (elles sont très sensibles à l’eau) 

    On peut donner une solution de pénicilline aux enfants qui est vendu sous forme de poudre que l’on doit mettre dans l’eau au moment de l’utilisation (à conserver à l’abri de chaleur pour éviter la dégradation de de la pénicilline) : c’est pour cela qu’elles ne sont pas vendues en solution préparée à l’avance 
    Alzeihmer : déficit en acétylcholine-> Inhiber l’ACE.
  • Dans la pénicilline, on peut faire varier la liaison amide en orange qui induit une stabilité de la liaison. Le carbonyle est plus réactif car le carbone est riche en électrons donc très peu réactif aux molécules extérieures.