On peut récupérer au niveau des urines les dérivés des androgènes mais difficulté pour distinguer l'origine surrénalienne et l'origine gonadique : en pratique, pas vraiment d'intérêt pour les diagnostics cliniques (Sauf test antidopage pour chercher excès de stéroïdes)
1. En absence d'hormone: Le récepteur est sous forme de dimère dans le cytoplasme et est lié à des corépresseurs qui l'empêchent de réaliser son activité
2. En présence d'hormone: Les stéroïdes passent librement la membrane cytoplasmique, ils lient le récepteur. Hormone-récepteur passe dans le noyau. Les corépresseurs vont être éliminés et ce sont des activateurs qui vont se lier au récepteur-hormone. Le complexe hormone-récepteur-activateur : lie l'ADN et active un certain nombre de gènes
Récepteur physiologique de l'aldostérone avec une très forte affinité pour celui-ci, Affinité faible pour le cortisol, Absence d'affinité pour la cortisone
La liaison de l'hormone au récepteur : activation/inhibition de certains gènes cibles des hormones. Présence dans les promoteurs de ces gènes de séquences reconnues par le couple récepteur/hormone (GRE, MRE)
Stimule le catabolisme protidique, Effet métabolique pour le maintien de la glycémie, Stimule la lipolyse et l'accumulation des graisses dans les tissus inhabituels, Résistance au stress et aux infections, Action sur le tonus vasculaire, Diminution de la réponse inflammatoire, Diminution des réactions immunitaires