La première est celle des récepteurs D1-like (D1 et D5), toujours postsynaptiques et couplés aux protéines Gs, ce qui permet une activation de l’adénylate cyclase et une hausse de l’AMPc.
La seconde est celle des récepteurs D2-like (D2, D3 et D4), présynaptiques ou post-synaptiques, couplés aux protéines Gi, d’où l’inhibition de l’adénylate cyclase, en découle alors une baisse de l’AMPc.