II. Les limites du soft power

Cards (15)

  • GAFAM
    Les géants du numérique américains
  • BATX
    Les géants du numérique chinois
  • GAFAM et BATX
    • Possèdent un hard et soft power par leur puissance financière et économique
    • Contrôle des données de leurs utilisateurs qui sont de plus en plus dépendants de leurs produits
    • Pouvoir d'influence considérable en tant que médias
    • Image jeune et dynamique
  • GAFAM et BATX
    S'imposent face aux États par leurs stratégies d'optimisation fiscale et par les possibilités qu'ils détiennent en termes d'IDE et d'emplois
  • Les États
    Essaient de les contrer par des stratégies juridiques et fiscales
  • ONG
    Certaines ONG sont aussi puissantes que des grandes FTN et peuvent avoir un réel impact sur les décisions politiques et la gouvernance mondiale
  • Greenpeace est la 1ère ONG pour la protection de l'environnement, emploie plus de 2500 salariés à travers le monde et a un revenu annuel de 345 millions d'euros
  • Greenpeace a empêché des projets menés par de très grandes entreprises comme Total
  • Soft power
    Capacité d'influence d'un État, difficile à mesurer
  • Il y aurait entre 6000 et 7000 langues dans le monde, mais ce chiffre baisserait de 10 à 20 par an
  • Le mandarin est la langue maternelle la plus utilisée (plus d'un milliard de locuteurs), loin devant l'espagnol (environ 330 millions de locuteurs)
  • L'anglais est la langue que peuvent comprendre le plus de gens à travers le monde, 1% des langues servant à la communication de 99% de l'humanité
  • Le poids culturel des États peut être une façon de mesurer leur soft power, à travers le marché des produits culturels, la reconnaissance du patrimoine mondial par l'UNESCO ou l'attractivité touristique
  • Le Nation Brands Index mesure l'image des États à travers 6 critères : les exportations, le gouvernement, la culture et le patrimoine, le tourisme, la réputation de la population et le pouvoir d'attraction en matière d'investissement et d'immigration
  • Il est très difficile de mesurer le soft power car les critères choisis sont subjectifs, souvent difficilement quantifiables et les paramètres durs à coefficienter