<<un arabe dans un commissariat il ne tient pas plus d'une heure>>
critisme de la police et le racisme systématique
<<moi tout-ce que je sais c'est que je ne cours pas plus vite que les balles>>
on voit une côté sensible et pas violent de saïd
<<c'est a moi que tu parles?>>
illustre comment cette histoire de gangster est une façade
c'est un hommage à la scène à travers Travis Bickle de Taxi Driver qui est un homme qui idéalise aussi la violence et les armes
<<si abdel y passe je tuerai un keuf>>
montre le cercle vicieux et que la vie de vinz est un tragedie en attendre de produire
montre la colère de vinz contre la police
montre la connextion entre les banlieusards (la fraterntité) - ils doivent protegereux-mêmes car personne ne sera - loyale
montre qu'il est implusif et ne pense a aucun conséquence
<<je préfère un mois de placard>>
montre que vinz veut projeter l'image du gangster
il parle à hubert d'être la seulepersonne qui n'est pas allée en prison et qu'il veut y aller pour faire une réputation
il insiste sur le mode de vie des cités et comment il est la norme d'aller en prison
<<j'en ai marre de cette cité. Il faut que je parte>>
montre qu'il est mature et comprendre que la vie dans les banlieues ne mènera a rien pour lui et c'est dangereux
il veut une meilleure vie
<<j'ai jamais vu les problèmes se résoudre par la violence>>
hubert est la voix de raison a travers le film - plus mature
il essaie de montre que vinz doit réfléchir et penser aux conséquences
<<si tu étais allé à l'école, tu saurais que la haine attire la haine>>
cercle vicieux
le thème principal du film
montre la réalité de la vie dans les banlieues et quand les jeunes ne vont pas a l'école ça mène à les autres problèmes comme le crime et le chômage
<<mais l'important c'est pas la chute c'est l'atterrissage>>
hubert comprend que les actions ont les consèquences
il est le seul à se rendrecompte de ce qui passe dans la société
<<l'histoire d'un mec -> l'histoire d'une société>>
montre que le vrai problème est la société
montre comment hubert est réfléchi et pensif
le personnage de Nordine montre la hiérachie qui existe dans la cité - ils ne respectent pas la police cars ils pensent qu'elle ne le mérite pas
Kassovitz utilise le caractère de Samir pour donner un portrait pluspositif de la police - il est beur, il vient de la cité
dès le début, on voit l'attitude maline des médias, avec le reportage télévisé pendant lequel la présentatrice donne le nombre des morts chez la police, mais pas chez les émeutiers
on peut dire que malgré leurs différences/individualités, il existe une identité du groupe, ces jeunes viennent des cités, avec leurs propres règles et leur propre language - ont le sentiment d'appartence
dès le premièressecondes du film, nous sommes confrontés à la violence entre la police et des habitant de la banlieue. Plus le film avance, plus la tension monte et plus la violences'intensifie.
le pistolet est l'objet représentatif de cette violenceomniprésente. il réflete la lumière de telle manière qu'il devient presquemythologique
accentue l'idée du cerclevicieux, que le revolver ne causera que des problèmes car c'est un appareil de la haine
<<avec un truc comme ça t'es le boss dans la cité>> - tout que vinz veut semble d'être
le cercle vicieux sans fin est montré dans le momentultime quand hubert tire le pistolet - le cercle est tellement ancré dans la société que même le passif Hubert est obligé de l'utiliser
tout au long du film, il y a des tensionsomniprésente entre les deux camps, même si ce n'est pas toujours de la violence physique
<<il y aura toujours les bauvres policiers, il y a les mêmes problèmes qu'il y a 25 ans>>
entretien avec Mathieu Kassovitz
le film est toujours pertinent
la violence des jeunes est souvent une réaction à la situation dans laquelle ils ont été mis, et n'est pas vraiment leur nature
<<la malaise des banlieues>>
montre l'exclusion sociale
cet environnment n'est pas leur univers et ils ne comprennet pas l'art qui est exposé et ils ne montrent pas de bonnes manières au buffet
reflète la fracture de la société français
le propriétaire ne semble pas se sentir concerné par ce malaise
il les considère comme un tout collectif
<<on n'est pas à Thoiry ici>>
c'est pas un zoo
il dit ça car les cités sont perçues comme dangereuse et donc ils ne leur parleront pas de près et à l'extérieur de la voiture
démontre comment les banlieusards sont considérés comme les animauxdangereux par les autres et leur réponse aux journalistesrenforce cette idéa
le banlieue est devenue un spectacle
<<comments ils sont polis les keufs ici, carrément il m'a dit 'vous' et tout!>>
renforce comment la police sont souvenent vu comme l'énemie.
mais le film n'est pas un film anti-flic c'est juste contre le système dont elle sont partie. (montre à travers le caractère de Samir)
<<il y a des bons flics, mais un bon skin est un skin mort. tire! vas-y!>>
hubert utilise la physcologie inversée pour montre à vinz qu'il n'est pas un gangster peu importe combien il essaie et il ne peut pas tuer une personne
<<tu peut pas tuer tous les keufs>>
hubert est la voix de la raison - tuer un policiern’arrêtera pas le système et ce n'est pas la façon d'obtenir du changement
<<ce putain de système>>
démontre le motivation derrière les actions de Vinz
tout est fait à cause de la colère qu'il ressent contre ce système qui est contre lui
<<moi, je sais d'où je viens et je sais où je vais>>
montre que Vinz a peu ambition de changer et croire qu'il va restertoujours dans les banlieues
manque d'ambition et d'espoirs
<<eh oui et qui nous protège de vous>> - hubert
montre que la police ne protège pas les banlieusards et ils ont peur d'elle
il n'existe personne qui veille sur eux
<<ce film est dédié à ceux qui sont morts pendant qu'il était en train d'être faire>>
illustre le point de la création de ce film
le racisme entre le système et la police qui profite de cela - tuer des innocentspendant le monde l'ignore
<<dans ton pays on ramasse avec les pieds>>
démontre le racisme systématique au sein de la police et la sociétéfrançaise - ils considèrent les africains français comme des animauxincapablesd'accomplir les actions humaines
<<n'oubliez pas la police tue>>
il existe un ressentiment généralisé de la police dans les banlieues - voir la police comme une opposition plutôt comme un protecteur
le chanson 'burnin and lootin' établir le colère et d'agitation partout en France, provoqués par le mort de Makome M'Bowolé en garde à vue etjette un ombre de tension sur tout le film
caméra portative évoque le sentiment que le spectateur est là - les yeux au niveau du public
coup de feu long de la police habillé en tenue anti-émeute, panoramique vers une foule de jeunes qui dansent ce qui les représente comme inoffensifs - juxtaposition entre les deux (les archives)
plan d'un homme avec un caméra qui pourrait refléterl'importance de documenter ces événements - rôle du cinéaste pour exprimer ses préoccupations
l'introduction de Said
une vision large pour créer une binaire entre Said qui représentant la jeunesse contre la police
gros plan sur l'uniforme pour renforcer le pouvoir de la police - ce qui crée des tensions en raison de la haine de la jeunesse pour la police
introduction de Vinz
cette scène donne ensuite un aperçu de quotidien de ces banlieusards qui ne font rien, se lèvent tard et fument du cannabis et la soeur ne peut pas aller à l'école comme celle-ci a brûlé
Vinz se vante de ce qu'il a fait pendant les émeutes mais quand ils passent à côté des trois policiers, il se tait - tout est en acte
la scène au toit
il y a un esprit communataire - le toit est un endroit convival pour ces jeunes malgré leurs différences.
crée de l'espoir car, ensemble, ils peuvent faire face aux problèmes systématiques
Kassovitz indique que la police fait plus de tort que de bien dans la cité - <<niquetamère, maire>> - manque de respect
la scène avec les journalistes
le média ne sont pas vraiment intéressés à écouter des banlieusards, à la place une fois qu'ils capturent certaines images et vidéos ils sont satisfaits - ils veulent un 'scoop'
ils resent en hauteur - semblent que les banlieusards sont inférieures
on voit le point de vue des journalistes et leur caméras - ils semblent de représenter la sociétéracailles - mais en réalité les journalistes ont été vulgaire avec leurs hypothèses <<est-ce que vous avez brûlés des voitures...>>