annales btime

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  • 6) Une métastase :
    1. Peut survenir jusqu’à 20 ans après le traitement d’une dysplasie
    B. Comporte souvent des anomalies génétiques différentes du cancer primitif
    C. Peut survenir en l’absence de cancer primitif détectable par IRM
    D. Se traite souvent par chirurgie
    E. Exprime souvent des antigènes identiques au cancer primitif
  • 18) Une dysplasie :
    1. Est un état pré-cancéreux
    B. Est un état pré-sarcomateux
    C. Précède l’apparition de carcinomes
    D. Se traite selon des protocoles identiques à un cancer invasif du même organe
    E. Peut-être dépistée par des tests sanguins
  • 19)Une métaplasie présente les caractéristiques suivantes :
    1. Elle est physiologique
    B. Elle peut s’observer dans l’estomac et les bronches
    C. Elle est parfois associée à une dysplasie
    D. Elle est irréversible
    E. Elle est constante avec le processus de vieillissement tissulaire
  • 20) Les lésions tissulaires d’un infarctus :
    1. Ont toujours une traduction morphologique en microscopie optique
    B. Sont observées dans le myocarde, le rein, et l’os
    C. Peuvent avoir une origine mécanique
    D. Peuvent avoir une origine inflammatoire
    E. Peuvent avoir une origine néoplasique
  • 3) La classification pTNM :
    1. Permet d’établir la classification TNM clinique
    B. Est établie après examen macroscopique et microscopique d’une lésion cancéreuse après résection et
    examen complet des pièces opératoires
    C. Est basé sur l’évaluation de la taille tumorale seule
    D. Est basée sur le grade histo-pronostique
    E. Est basée sur l’examen des ganglions lymphatiques drainant l’organe où se développe la néoplasie
    maligne
  • Une dysplasie
    1. Est un état pré-cancéreux
    B. Est un état pré-sarcomateux
    C. Précède toujours l’apparition de carcinomes
    D. Doit toujours être traitée
    E. Peut-être dépistée par des frottis cellulaires
  • 7) La stéatose hépatique :
    1. Nécessite toujours un diagnostic par biopsie
    B. Est une infiltration lipidique
    C. Est une surcharge lipidique
    D. Est mise en évidence par la coloration du rouge Congo
    E. Peut-être d’évolution très péjorative
  • Les stries lipidique observée dans la paroi artérielle athéromateuse :
    1. Est une lésion d’apparition précoce
    B. Touche préférentiellement les artérioles
    C. Est caractérisée par des calcifications pariétales
    D. Est caractérisée par des cellules géantes multinuclées
    E. Est caractérisée par des lipophages
  • Laquelle de ces propositions est fausse :
    1. L’inflammation aigüe comporte une phase initiale vasculo-sanguine
    B. Rougeur, chaleur, douleur, et tuméfaction sont les quatre signes cardinaux de l’inflammation aigüe
    C. Dans l’inflammation aigüe processus inflammatoire et cicatrisation sont étroitement mêlés
    D. Le granulome inflammatoire polymorphe est l’aboutissement de la phase cellulaire de l’inflammation
    aigüe
    E. Les cellules épithélioïdes sont d’origine hématologique
  • L’inflammation granulomateuse :
    1. Est une inflammation chronique d’emblée
    B. La cellule principale est le polynucléaire neutrophile
    C. Contient des cellules géantes multinuclées
    D. Renferme toujours des corps étrangers
    E. Est parfois observée dans la maladie de Crohn
  • A propos des tumeurs mélaniques :
    1. Peuvent être bénignes ou malignes
    B. Peuvent être congénitales ou acquises
    C. Peuvent être cutanées ou méningées
    D. Un des facteurs pronostiques des mélanomes est leur épaisseur
    E. Un des facteurs pronostiques des mélanomes est leur surface
  • Le(s)quel(s) de ces carcinomes épidermoïdes naissent de territoires métaplasiques :
    1. Broncho-pulmonaire
    B. Col de l’utérus (exocol)
    C. Canal anal
    D. Endobrachyoesophage
    E. Larynx
  • Une dysplasie :
    1. Est un état pré-cancéreux.
    B. Est un état pré-sarcomateux.
    C. Précède toujours l'apparition de carcinomes.
    D. Se traite selon des protocoles identiques à un cancer invasif du même organe
    E. Est parfois résolutive sans intervention thérapeutique
  • La métaplasie :
    1. Peut donner lieu à l'apparition d'un épithélium normal.
    B. Est parfois associé à une dysplasie
    C. Peut être la conséquence d'une agression physique
    D. S'observe souvent au niveau bronchique
    E. S'observe souvent au niveau du col utérin.
  • Un infarctus tissulaire :
    1. Est une lésion spécifiquement cardiaque
    B. A toujours une traduction morphologique
    C. Peut survenir après une torsion pédiculaire
    D. Est toujours symptomatique
    E. Est parfois liée à une occlusion artérielle
  • La stéatose hépatique :
    1. Nécessite toujours un diagnostic par biopsie
    B. Est une infiltration lipidique
    C. Est une surcharge lipidique
    D. Est mise en évidence par la coloration du rouge Congo.
    E. Peut être d'évolution péjorative en cas de stéato-hépatite
  • La strie lipidique observée dans la paroi artérielle :
    1. Est une lésion d'apparition précoce
    B. Touche préférentiellement l'aorte
    C. Est caractérisée par des calcifications pariétales.
    D. Est caractérisée par des cellules géantes multinucléées.
    E. Est caractérisée par des lipophages.
  • Une métastase osseuse d'un cancer du sein :
    1. Peut survenir 20 ans après le traitement du cancer primitif.
    B. Comporte souvent des anomalies génétiques différentes du cancer primitif.
    C. Peut survenir en l'absence de cancer primitif détectable
    D. Est souvent issue d'un sous-clone
    E. Peut subir un phénomène de dormance
  • Quels sont le ou les items vrais concernant l'examen cytologique sur étalement après ponction ou grattage ?
    1. Elle permet la détection de cellules dysplasiques.
    B. Elle est le plus souvent suffisante pour le diagnostic d'un cancer.
    C. Elle permet le diagnostic de cancers micro-invasifs.
    D. Elle permet la détection d'anomalies tissulaires architecturales.
    E. Elle est le plus souvent suffisante pour la prescription d'une thérapie ciblée anti-cancéreuse
  • Dans quelle(s) localisation(s) peut-on trouver des tumeurs germinales ?
    1. Ovaires
    B. Testicules
    C. Médiastin
    D. Rétropéritoine
    E. Système nerveux central
  • Laquelle ou lesquelles de ces lésions mammaires est/sont associée(s) à un risque métastatique nul :
    1. Carcinome lobulaire in situ
    B. Carcinome métaplasique
    C. Mélanome du mamelon
    D. Adénome sébacé
    E. Papillome intra-canalaire
  • Laquelle (lesquelles) de ces transformations malignes s’accompagnent d’une rupture de la membrane
    basale ?
    1. Lipome / liposarcome
    B. Cystadénome / cystadénocarcinome
    C. Neavus / mélanome
    D. Papillome / carcinome épidermoïde
    E. Adenite / lymphome
  • La métaplasie :
    1. Donne lieu à l’apparition d’un épithélium normal.
    B. Est toujours associée à une dysplasie
    C. Est observée dans l’endobrachyoesophage
    D. S’observe souvent au niveau bronchique
    E. S’observe souvent au niveau du corps utérin.
  • La stéatose hépatique :
    1. Est toujours asymptomatique
    B. Est due à une accumulation de glucides complexes.
    C. Est due à une accumulation de lipides.
    D. Peut être provoquée par un traitement antibiotique
    E. Est souvent un diagnostic biopsique
  • L’amylose :
    1. Est souvent diagnostiquée par imagerie
    B. Nécessite une coloration de perls sur un prélèvement biopsique
    C. Est observée parfois dans des conditions liées à la senescence
    D. Peut toucher le foie
    E. Doit être typé par Immunohistochimie
  • Parmi ces tumeurs, lesquelles sont issues de phénomènes métaplasiques :
    1. Adénocarcinome de l’œsophage
    B. Mélanome de la rétine
    C. Adénocarcinome du poumon
    D. Carcinome épidermoïde du col utérin
    E. Adénocarcinome de l’endocol utérin
  • Les cellules naeviques :
    1. Sont d’origine épithéliales
    B. S’organisent volontiers en thèques
    C. Peuvent être présentes dans le derme ou la jonction dermo-épidermique
    D. Sont ubiquitaires au niveau de l’organisme
    E. Sont sensibles aux Ultra-Violets (UV)
  • A propos des tumeurs mélaniques :
    1. Peuvent être bénignes ou malignes
    B. Peuvent être congénitales ou acquises
    C. Peuvent être cutanées ou méningées
    D. Un des facteurs pronostiques des mélanomes est leur épaisseur
    E. Un des facteurs pronostiques des mélanomes est leur surface
  • Un adénocarcinome :
    1. Est une tumeur épithéliale maligne
    B. Peut naitre de n’importe quelle cellule de l’organisme
    C. Peut être in-situ ou invasif
    D. Nait toujours d’une tumeur bénigne préexistante
    E. Peut donner des métastases par voie lymphatique et hématogène
  • 19)Une inflammation granulomateuse est :
    1. Une forme anatomo-clinique de l’inflammation aigue
    B. Comporte essentiellement des polynucléaires neutrophiles
    C. Contient un grand nombre d’histocutes
    D. Peut s’observer dans la tuberculose
    E. Toujours d’origine infectieuse
  • 20) L’inflammation virale :
    1. S’accompagne toujours de lésions cellulaires
    B. Peut n’entraîner aucune modification cellulaire apparente
    C. Peut précéder l’apparition d’un cancer
    D. Peut être responsable d’inclusions nucléaires
    E. Peut être responsables d’anomalies cytoplasmiques
  • La stéatose hépatique :
    1. Est une infiltration glycoprotéique
    B. Évolue souvent vers une stéato-hépatite
    C. Est mise en évidence par coloration de Masson
    D. Est une surcharge lipidique
    E. Est une pathologie très fréquente
  • À propos du mélanome, laquelle (lesquelles) de ces propositions est (sont) exacte(s) ?
    1. Le risque de dégénérescence d’un naevus est d’environ 10%.
    B. Le mélanome est une tumeur bénigne.
    C. Le mélanome est une tumeur qui survient le plus souvent de novo (sur peau saine).
    D. Le mélanome est une tumeur épithéliale maligne.
    E. Le mélanome est une tumeur épithéliale maligne.
  • 10) À propos du mélanome, quel(les) sont les propostion(s) exacte(s) ?
    1. Le pronostic du mélanome dépend de plusieurs facteurs microscopiques.
    B. Les métastases les plus fréquentes sont ganglionnaires.
    C. L'ulceration a une valeur pronostic
    D. Le niveau d'invasion Clarck est le plus important.
    E. L'épaisseur est un des critères.
  • Concernant la classification des cancers :
    1. L’analyse histologique de certains cancers ne retrouve parfois que très peu de mitoses
    B. La recherche de certaines anomalies cytogénétiques peut être très utile pour classer certains lymphomes
    et sarcomes
    C. Les tumeurs développées à partir de l’épithélium vésical sont des adénocarcinomes
    D. Les termes « cancer » et « carcinome » sont synonymes
    E. Tous les types de cancers dérivent d’une cellule souche.
  • Un lymphome peut être :
    1. Bénin ou malin
    B. Hodgkinien ou non hodgkinien
    C. Primitif ou métastatique
    D. De type B ou T
    E. Traité chirurgicalement ou par chimiothérapie
  • Le(s)quel(s) de ces organes peuvent être le point de départ d’un lymphome ?
    1. Colon
    B. Rein
    C. Poumon
    D. Testicule
    E. SNC
  • 16) Les Sarcomes :
    1. Naissent généralement de tumeurs bénignes prévalentes
    B. Peuvent être conjonctifs ou épithéliaux
    C. Sont de topographie ubiquitaire
    D. Sont toujours des tumeurs malignes
    E. Sont préférentiellement traités par chimiothérapie
  • Le phénomène métaplasique peut expliquer...
    1. L’extension des ganglions lymphatiques des tumeurs épithéliales malignes.
    B. La présence de carcinomes épidermoïdes dans le poumon.
    C. La transformation des adénomes coliques.
    D. La présence d’adénocarcinome dans l’endocol.
    E. La présence d’adénocarcinome dans l’œsophage.
  • Le grade histologique d'une tumeur :
    1. Est établie selon des critères variables dépendant de l'organe d'origine
    B. Augmente avec l'apparition des métastases ganglionnaires
    C. Concerne les carcinomes et les sarcomes
    D. Dépend de sa taille et de son invasion pariétale
    E. Dépend de critères histologiques