On distingue plusieurs types de liaisons chimiques, en fonction de la nature des atomes impliqués, mais quel que soit le type de liaison formée : ce sont les électrons de la couche de valence qui sont responsables de leur formation.
La liaison covalente s’établit entre éléments appartenant à une même zone de la classification périodique puisque leur électronégativité ne doit pas être trop différente pour partager leurs électrons (sinon il y aurait transfert total).
La structure de Lewis est établie à partir de la représentation de Lewis des atomes et de la représentation des cases quantiques et leur couche externe.
Lors de la formation d’une liaison, chaque atome tend à saturer sa couche électronique externe de façon à acquérir la structure électronique du gaz rare le plus proche.
Les orbitales moléculaires de type π ont une rigidité due à l’esymétrie par rapport à un plan: fort densité électronique située au-dessus ou sous de ce plan et forte réactivité chimique au niveau de ces zones.
La structure de Lewis est une base simple utilisée pour la chimie « descriptive » minérale et organique, qui représente une commodité de traitement fonctionnant correctement dans environ 95% des cas.
L’atome A ayant n OA et l’atome B ayant m OA, le nombre d’électrons se conserve d’après les règles de Hund et Pauli en remplissant les OM de plus basse énergie.