Géneralités analyses biochimiques

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  • Les tests biologiques sont utilisés pour détecter des maladies et évaluer les états d'équilibre ou des fonctions physiologiques.
  • Les valeurs ne sont pas « normales » mais « habituelles » ou de « référence ».
  • La normalité d’un résultat est relative à une population témoin.
  • Pour de nombreux autres paramètres, la distribution est souvent non Gaussienne, par exemple les troponines.
  • Les tests biologiques sont également utilisés pour déterminer les valeurs normales et pathologiques.
  • Les tests biologiques peuvent être utilisés pour mesurer des paramètres en biochimie.
  • Les tests biologiques peuvent être utilisés pour déterminer les valeurs normales et pathologiques.
  • La TnTc reste stable en présence d'une pathologie cardiaque non coronarienne.
  • La TnTc est très fortement présente en cas d'infarctus du myocarde.
  • Dans des contextes où l'interprétation peut s'avérer difficile, la répétition de la mesure de TnTc 3 heures après un premier dosage permet d'orienter le diagnostic.
  • Certaines troponines ont une cinétique intermédiaire, comme la CK-MB.
  • Les troponines ont des concentrations qui sont en rapport avec l'étendue de la lésion cardiaque.
  • Certains marqueurs sont très précoces et disparaissent vite du sang circulant, comme la myoglobine.
  • La TnTc est significativement mais peu élevée en présence de pathologie cardiaque sans infarctus que cela soit une maladie coronaire (angor instable) ou une pathologie d'une autre nature.
  • Certaines troponines resteront dosables pendant plusieurs jours.
  • La cinétique biologique est importante dans l'exploration s et l'imagerie médicale.
  • La TnTc est presque indosable en présence d'une pathologie non cardiaque, car la mesure de troponine est spécifique des pathologies cardiaques.
  • Les analyses biochimiques ne font pas partie du traitement pour une pathologie donnée
  • Les valeurs de références sont les valeurs les plus fréquentes dans une population B
  • La sensibilité d’un test correspond à sa capacité à détecter les vrais négatifs
  • Le seuil des valeurs pathologiques ne doit pas être trop bas pour éviter de détecter des faux positifs
  • Les paramètres sont liés au bilan rénal
  • La spécificité d’un test correspond à sa capacité à détecter les vrais positifs
  • Ils peuvent contribuer à l’évaluation de l’efficacité d’un traitement ( exemple de la glycémie pour le contrôle du diabète)
  • La prise alimentaire QCM 4
  • Le seuil des valeurs pathologiques ne doit pas être trop haut pour éviter de ne pas détecter les faux négatifs
  • Les normes françaises fixent les anticoagulants utilisés, leur code, leur utilisation, et la couleur du bouchon.
  • Lorsque le biologiste valide les résultats d'un bilan biologique, les informations sur l'hypothèse pathologique, et les circonstances au moment du prélèvement peuvent entraîner des conséquences sur l'interprétation des résultats et la cohérence du bilan obtenu.
  • La validation biologique est obligatoire et implique le contrôle de cohérence, les effets du délai de conservation, les antécédents, l'incidence du service clinique, le traitement éventuel, les effets d'un problème éventuel de prélèvement, les variations biologiques physiologiques, les variations nycthémérales, le stress et l'anxiété, les conditions de prélèvement, et le traitement éventuel d'un problème de prélèvement.
  • Le tube « sec » (sans anticoagulant) contiendra les éléments figurés du sang (hématies et leucocytes), et l'objectif est de recueillir le sérum après centrifugation (surnageant dépourvu de cellules et de fibrinogène).
  • Le moment dans la journée où est effectué le prélèvement est indispensable pour l'interprétation de quelques paramètres, comme le cortisol (cycle sur 24h), la GH (hormone de croissance à sécrétion essentiellement nocturne), etc.
  • Les utilisations des tests biologiques dans le cadre de l’activité médicale relèvent de quatre contextes principaux : le diagnostic, l’évaluation d’un patient, le pronostic et le dépistage.
  • Une analyse biologique seule ne permet que très rarement de porter un diagnostic.
  • Les paramètres dits d'urgence représentent 20 - 25% de l'activité d'un laboratoire.
  • La situation pathologique est identifiée ; l’examen de biologie servira à suivre l’évolution (aggravation ou amélioration) de la pathologie prise en charge ou à suivre les conséquences d’un traitement (efficacité ou toxicité).
  • Les analyses courantes sont effectuées sur du sang (plasma, sérum ou éléments figurés), du sang artériel, du sang capillaire, des urines, du liquide céphalo-rachidien, des liquides divers (synovial, pleural, ascitique, pancréatique, etc.), des calculs rénaux.
  • Le dépistage consiste à identifier une pathologie qui n’a pas encore eu de conséquence et qui n’est pas encore observable cliniquement.
  • L'acte biologique comporte trois étapes : l'étape pré-analytique, l'étape analytique, l'étape post-analytique.
  • L’examen de biologie médicale est au service de l’évaluation d’une situation pathologique, dans le cadre de la médecine courante.
  • L'interrogatoire et l'examen clinique sont nécessaires pour cerner la situation.