Certains pays ont officiellement reconnu le génocide des Tsiganes, comme la France, en 2016, qui a reconnu sa responsabilité dans l’internement des tsiganes.
Ces reconnaissances renforcent la légitimité de la mémoire du génocide tsigane au niveau national et international.
Certains pays intègrent désormais le génocide des Tsiganes dans leurs programmes éducatifs => informer les jeunes générations. Cette inclusion vise à prévenir l'oubli et à sensibiliser les élèves à l'importance de la tolérance et du respect.
Des journées commémoratives spécifiques dédiées au génocide tsigane ont été établies dans plusieurs pays. Ces journées offrent l'occasion de se souvenir et de rendre hommage aux victimes, et de sensibiliser le public à leur histoire, souvent méconnue.
Des événements culturels sont organisés pour commémorer le génocide tsigane. En 2001, ouverture de l’exposition permanente à Auschwitz sur le génocide tsigane avec des performances artistiques et des projections de films, .
Les évènements culturels visent à utiliser l'art et la culture comme moyen de transmettre l'histoire et de susciter une réflexion plus profonde.
Il y a de plus en plus de campagne médiatique et d'initiatives en ligne pour sensibiliser le grand public au génocide des Tsiganes.