TD - Psychologie Clinique

Cards (35)

  • Définir la ou les psychothérapie :
    → La finalité : changement d’une personne en souffrance qu’on va aider à travers un accompagnement => Autonomisation via le changement
    => Le psy n’est pas la pour traiter le problème mais pour aider les personne à être autonome dans leur guérison
    → 3 types de personnes :
    • Les cool
    • Les « faites quelques choses pour moi qi va me soigner rapidement » = les relou
    • Les contraints (justice, etc.) = les chelou
  • Pourquoi parle-t-on des psychothérapies au-delà de la psychothérapie ? Qu’est-ce qui fait l’unicité ? Qu’est-ce qui fait la diversité ?
    L’unicité des psychothérapies réside dans les facteurs communs (l’alliance, l’empathie, les attentes, l’adaptation culturelle, l’effet du thérapeute, Wampold, 2015) des psychothérapies et du code de déontologie des psychologues.
    → La diversité se trouve dans la pluralité des approches, des méthodes, des contextes d’intervention. Mais également dans l’idée qu’il n’y a pas de psychothérapies qui soient meilleures qu’une autre.
  • → Au-delà du savoir, on doit savoir qu’il y a une obligation a poursuivre sa formation de clinicien et d’être plus proche dans notre vision du monde.
    → Ne pas s’enfermer dans une approche unique car une approche ne correspond pas forcément a tous les patients (ne peut pas tous les temps faire la même en boucle)
    → On ne peut pas dire qu’on ne suis aucune approche, qu’on fait tabula rasa, c’est impossible et on ne peut pas faire l’économie de ce savoir c'est dangereux.
    => Une fois qu’on a rencontrer la personne, là on choisit l’approche qui semble la plus efficace.
  • → Approche intégrative: plusieurs approches en même temps au fur et mesure pour une seule personne pour un suivie personnalisé
    → Approche plurielle : une thérapie pour UN patient, on peut changer en cours de route mais ça reste une approche à la fois.
    -> On en peut pas faire que du full intégratif, on va forcément prendre une ou plusieurs voie en parallèle. Travailler avec 2 approches ne fait pas une seule grosse approche.
  • Expliquez le déterminisme psychique et le symptôme selon Freud ?
    → Le déterminisme psychique veut que rien ne soit du aux hasard : peut importe ce qu’une personne dit cela aura toujours un lien avec son psychisme. Toutes pensées et idées de la personne est prédéterminé selon des désirs, volonté intérieure.
    → Et les symptômes sont déterminé également par l’existence de diverse structure :
    Psychotique:20 % → Rupture avec la réalité
    Névrotique : 70 % → Modification de la réalité
    Perverse : 5-10 %
  • ➔Métaphore du cristal  : quand on le casse il va se casser en faille qui correspondent à la manière dont il a été construit = pareille avec le psychisme humain, quand l’esprit casse il ne le fait pas au hasard.
    ➔C’est de la décompensation = cassure aigu de l’esprit qui nécessite dans la plupart des cas d’une hospitalisation
  • Quel est l’objectif et le procédé de l’association selon Freud ? ➔Association libre = première technique en psychanalyse qui démontre l’inconscient
    LACAN : en poursuivant le travail de Freud sur association libre, il comprend que la solution est dans la parole
    → Les psychanalystes ne parlent pas car ils veulent que la personne trouve la réponse par elle même/ réponde a ses propres question
  • → PIP: Psychologie d’Inspiration Psychanalytique VS Cure Analytique
    ➔Cure analytique : pour devenir psychanalyste 
    • On fait d’abord une cure, ensuite on fait une école puis on peut se définir comme tel une fois qu’on est reconnue par les pairs
    • 3 entretient par semaine
    ➔PIP : Plus normale
    • 1 par semaine ou tous les 15 jours
  • → Le rêve serait la voie royale vers l’inconscient. Freud distingue deux choses :
    • Partie Manifeste : d’une part, les pensées du rêve que nous retenons au réveil : le contenu manifeste. Ce sont les éléments du rêve que nous parvenons à raconter à notre réveil.
    • Partie latente : Freud nomme l’autre partie « le contenu latent » ce sont les pensées du rêve qu’il nous est impossible de garder au réveil et de traduire en mots.
  • → Le rêve d’un enfant : peut de latent et que du manifeste
    Il ne rêve pas sous forme de symbole
    → Le rêve d’un adulte : se rajoute a nos rêve : les désirs, les refoulements
    => Le risque dans l’interprétation des rêves c’est de s’attacher au manifeste (c’est parce qu’on rêve de tuer notre père qu’on veut vraiment tuer notre père) on doit se concentrer sur le latent donc on doit suivre le manifeste pour comprendre le latent
  • • L’enfant ne conçoit pas la mort : mort = absence
    → Quand il commence a comprendre ce qu’est la mort il doit refaire tout le processus de deuil avec un regard d’adulte
    Désir de mort : parent 1 qui part → Relation fusionnelle entre parent 2 et enfant → Parent 1 revient → Enfant veut la mort de parent 1 car il détruit sa relation avec parent 2 → Désire de mort de parent 1 de la part de enfant : car mort = absence
    => C’est ce désir de mort qui revient dans les rêves de l’adulte (tu sais le gars qui voulait tuer son père plus haut )
  • Comment Freud définit les actes manqués et les lapsus ?
    →Il les définit comme une manifestation des désirs inconscients et des refoulement
    Lapsus : on pense trop a autre chose quand on parle du coup ont dit autre chose
    Actes manqué : découle de chose qui se sont passé (ex : rdv )
  • Que connaissez vous de la pensée de Freud sur le Fonctionnement Psychique ?
    → Découle des topiques de Freud :
    • I : Conscient / Préconscient / Inconscient
    • II : Moi / ça / Surmoi (1920)
    ◦Ça = veut que du plaisir dans la réalité
    Surmoi = réalité
    ◦Moi = compromis entre les deux
    => Symptômes de troubles proviennent d’un déséquilibre entre les trois
  •  JEU DE LA BOBINE :
    → Enfant qui semble obéissant
    → Théorie de l’attachement = BOWLBY :
    • Attachement sécure
    • Attachement Insécure
    → WINICOTTE : Qu’est ce qui créer un attachement sécure ?
    • La mère « suffisamment bonne » (pas forcément de sexe F) = la personne qui produit les soins / qui va répondre au besoins de l’enfant
  • Hernst ne pleure pas même si sa mère s’éloigne pendant plusieurs heure:
    → Bizarre sauf s’il a développement des objets transitionnelles (projection de ses parents sur un doudou par exemple) pour supporter la distance
    => On dirait plus un attachement insécure (car il a compris qu’on ne répondait plus a ses besoins du coup il ne les verbalisait plus)
    → Les aller-retour avec la bobine sont quelques chose que l’enfant aime contrôler du début à la fin
  • Hernst rentre dans la phase anale :
    → C’est la phase de contrôle
    → Age où il y a une pression de la part des parents pour que les enfants soit propre donc l’enfant commence a comprendre qu’il peut faire des décisions (décidé de chier sur lui ou non)
    → Avec le jeu de la bobine (o-o-o-o = Fort = Loin / Da ! = Ici) projette l’éloignement et le rapprochement de sa mère
    → Il le répète en boucle car le retour de la bobine lui procure du plaisir en boucle à cause de la projection du retour de sa mère
  • Qu’est ce qui génère l’émotion ?
    => C’est une succession de pensée qui se produit entre l’évènement et la réaction émotionnelle déplaisante. Les gens vont penser des choses qui vont leur faire une réaction particulière qui n’ a parfois pas de sens avec leur environnement mais qui une fois leur démarche de pensée révélé, en a.
    → Ce qui génère l’émotion c’est la pensée automatique
    • Comment s’est faite la découverte des pensées automatiques ?
    → Lors de tâche d’association libre, il y avait plusieurs courant de pensée interne superposé les un sur les autres, que souvent les patients ne les partageaient pas tous, de manière conscientes ou non.
    → Ce sont les pensées automatiques : des pensées interne qui ne sont pas disponible instantanément (le découvre grâce à une femme qui lui dit qu’elle peut les dire si elle se concentre)
  • → Les pensées automatiques : pensées qui viennent précédé un émotion de façon automatique et rapide.
    • La conséquence : une émotions relié directement avec le type de pensé.
    → Auto – injonction : normes et cadre interne que l’on se fixe
    • l’autosurveillance du comportement, lorsqu’elle devient excessive, compliqué et trop rigide (ou trop éloigné de la réalité) peut devenir dangereux.
    • Fait partie des pensées automatiques
  • → Anticipation : les conséquences d’une expérience qu’une personne s’attend à recevoir après avoir vécue une expériences similaires qui entraînait ces conséquences. Elle peut être positive comme négative.
    → Règles : normes subjectives que la personne va avoir et qui va canalisé ses pensées automatiques, elles sont à la fois subjectives et sociales car elles découlent de notre expérience et de notre société.
    • (ex : l’enfant homosexuelle dans la famille homophobe)
    Règles sont les causes de l’auto injonction
  • SORC : Stimuli Organisation Réponse Conséquence
    SECCA : Situation Émotion Comportement Cognition Anticipation
    • Effectuez une analyse fonctionnelle du problème sur une situation problématique concrète et récente pour le patient :
    Situation : dois se rendre au travail en avion
    Comportement : Il va prendre des anxiolytique
    Cognition : il se voit allonger par terre
    Pensée automatique : « je vais mourir » « je sens que je vais mourir »
    Anticipation : Prend le train à la place de l’avion
    • Quel sont les autres facteurs qui vont influencer le développement et le maintien du trouble ? (Facteurs génétiques, de personnalité, facteurs déclenchant, de maintien, précipitant)
    Antécédent Familiaux ( ex : sa mère est anxieuse → pas forcément génétique mais plus du conditionnement)
    • Facteur précipitant (ex : travail)
    Origine (ex : à 23 il connaît une crise d’angoisse qui va cristalliser ses peurs)
    • Antécédent personnelle (ex : toutes les crises d’angoisse qu’il a déjà fait avant )
    Moyen de protection = mécanisme de fuite via le médicament
    Solution : technique de relaxation
    • En thérapie afin d’éviter de faire des crise d’angoisse on suit des étapes pour se « soigner » :
    Stratégie d’exposition (pensée que vous êtes dans la magasin, regarder des photos, etc)
    Désensibilisation systématique : stratégie d’exposition avec relaxation (Jackoffson)
    • Colonne de Beck : travaille sur les pensée automatique + désensibilisation systématique
    => Chercher à « décrédibiliser » la peur
    • Le but et d’augmenter l’exposition à la peur pour ensuite pouvoir la confronter (avion/magasin)
    • A quelle vision de l’homme dans l’approche humaniste renvoie le terme « développement de la personne » ?
    → L’approche humaniste : propose une vision centrée sur l’homme et son potentiel, son autonomie et sa capacité à s’épanouir.
    → Chaque être humain est unique et à les capacité de se développer.
  • ➔Pyramide de Maslow : pyramide des besoins (du moins important au plus important):
    • Physiologique
    • Sécurité
    • Appartenance
    • Estime
    • Auto-actualisation
    • Niveau 1 : Les besoins physiologiques :
    Alimentation
    Respiration
    Sommeil
    Reproduction
    => Besoins relativement bien assuré dans les pays développés (pas toujours le cas non plus)
    • Niveau 2 : La sécurité
    • Des ressources
    • De la santé
    Relationnel
    • Niveau 3 : L’appartenance
    Reconnaissance d’appartenir à un certain groupe
    • Relation avec Famille et amis
    • Niveau 4 : L’estime
    Estime de soi, respect de soi, confiance en sois porte aux risques vers le niveau 5
    • Avoir conscience de ce que je suis, de la valeur et de respect que je m’accorde
    • Niveau 5 : Réalisation de soi :
    Spiritualité, créativité, spontanéité
    Vivre bien, très bien et se permettre des mises à jour, des actualisations
    • Est-ce que j'arrive à être authentique et spontané dans la vie que je mène, être sois même avec les autres
    • Est-ce que j'arrive à produire des choses dont je suis fier
    • Donner du sens à l'existence, qu'est ce que je veux de ma vie
  • • La congruence apporte de la confiance et la relation va être de plus en plus stable entre eux car le client va refléter le thérapeute et être aussi congruent.
    • Plus on est congruent et plus l’écart entre le moi intérieure et le moi extérieure diminue, donc on se sent de mieux en mieux.
    • ATTENTION   : si incongruence de la part du thérapeute = pas de confiance de la part du client ce qui entraîne une relation instable car le patient devient lui aussi incongruent et filtre sa parole.
    • La congruence / authenticité : état interne au psychothérapeute, qui serait sa capacité à être authentique avec son client sur ce qu'il est.
  • → La compréhension empathique : capacité de comprendre et deviner les sentiments éprouvés par le client
  • → L’approche psychanalytique : première à définir la relation entre le patient et le psychologue comme asymétrique :
    • Le patient va croire le psychanalyste sans le remettre en question
    • Dangereux car on peut être tenté d’amener le patient là où ON veut aller et pas où IL veut aller
    • Le thérapeute ne parlera jamais de lui-même en psychanalyse pour ne pas « polluer » le psychisme de mon patient
    • Danger   : être trop éloigner de son patient car on cherche une «  domination   » psychique
  • L’approche humaniste : le patient et le psychologue sont placé sur le même niveau
    • Ramener le patient à la réalité de la thérapie humaniste et éviter qu’il place le thérapeute en personne supérieur
    • On a déjà vécue des choses donc on peut en parler un peu afin de travailler une relation thérapeutique (« j’ai déjà pensé pareille »)
    • Peut démontrer l’appartenance à un groupe + qu’on peut s’en sortir
    → EXEMPLE : la pairs-aidance
    • ATTENTION : ne pas être trop proche de son patient, on ne cherche pas à être pote
  • L’expérience immédiate : perception des évènements, des émotions et des sensations qui se produisent dans le moment présent au cours de la thérapie.
    • On ne peut pas influé sur le passé et on ne connaît pas le futur donc on s’intéresse à ce qu’il se passe émotionnellement maintenant
    • « Le but et l’idéal qu’il cherche à atteindre deviennent plus accessibles. L’écart entre le moi qu’il est et le moi qu’il voudrait être diminue considérablement. » (Rogers) :
    → Le but de la psychologie humaniste c’est que le client (= patient : pour démédicaliser la psychologie) atteigne la spiritualité (= le sommet de la pyramide de Maslow)