La part scientifique nous permet d’avoir la solidité des connaissances, des repères, puis une fois rassuré, on peut avoir accès au doute et à la subjectivité. En effet, cette part permet de se sentir fort, or le patient attend du soignant qu’il soit plus fort contre la maladie que ce qu’il n’a
pu être. De plus, l’omniprésence du doute, de la subjectivité, entraîne une perte de confiance en soi et donc l’impossibilité de soigner.