Épithélium bronchique

Cards (56)

  • Types of cells in the respiratory mucosa
    • Cellules de Clara
    • Cellules ciliées
    • Cellules neuroendocrines
  • Il existe environ 3 cellules ciliées pour 2 cellules de Clara retrouvées
  • Ce sont des cellules qui peuvent être mises en évidence car elles ont énormément de mitochondries et de granules de sécrétions puisqu’en termes de quantité dans le corps ce sont des cellules qui sont extrêmement marquées dans la synthèse des oxydases, anti-protéases
  • Une bronchiole intra-lobulaire dessert un lobule qui va ensuite remonter jusqu’au bronchioles supérieurs
  • En partant de l’alvéole une structure en forme de choux fleurs ou de fleur cela décrit anatomiquement une forme dite d’acini. Sur cette image on a un acini et à la fin du lobule on a plusieurs types d’acini
  • Au niveau de la bronchiole terminale on est en présence du parenchyme
  • Anatomiquement ces cellules sont très granuleuses en faisant une microscopie électronique on verra de nombreuses mitochondries à l’intérieur de ces cellules
  • Elles vont également jouer un rôle dans la défense immunitaire du poumon en secrétant des enzymes qui vont lutter contre les toxines et xénobiotiques
  • Elles sécrètent d’avantage d’anti-protéase ce qui permet de lutter notamment contre l'emphysème, c’est-à-dire la destruction des parois alvéolaires permettant ainsi la protection de l’intégrité tissulaire
  • Si on regarde en 3 dimensions l’arbre bronchique on peut trouver des bronches sous lobaires qui sont des bronches terminales qui sont parfois plus basses que certaines alvéoles puisqu’on est dans une forme de 3D, en faisant une coupe cela arrive de voir plusieurs étages en même temps cela est lié à la modélisation 3D de cette arbre bronchique permettant de comprendre le cliché histologique au niveau de la partie périphérique du parenchyme où on peut voir différentes structures ce qui est plus compliqué à analyser
  • En remontant depuis la partie alvéolaire, on va avoir les canaux alvéolaires qui vont se jeter dans la bronchiole respiratoire qui passe dans la bronchiole terminale. Les bronchioles vont remonter dans les bronchioles respiratoires eux-mêmes remontant dans les bronchioles interlobulaires qui font la jonction entre les différents lobules
  • Paroi bronchiolaire de transition
    La paroi est incomplète, avec une plage épithéliale un peu plus épaisse, un épithélium cubique simple plutôt régulier en termes de forme et interrompu
  • Sur un même plan, on trouve une partie bronchiolaire et une partie alvéolaire, rendant la reconnaissance histologique plus complexe
  • En descendant, on voit un épithélium qui semble plus festonné et un épais tissu de soutien, vraisemblablement les fibres musculaires, avec par endroits du tissu conjonctif épais
  • Voies intra-lobulaires
    1. Les bronchioles respiratoires remontent dans les bronchioles interlobulaires qui font la jonction entre les différents lobules
    2. Une bronchiole intra-lobulaire dessert un lobule qui va ensuite remonter jusqu’au bronchioles supérieurs
  • Si cela avait été un biais de coupe, on n'aurait pas eu l'épithélium qui se poursuit, il y aurait un arrêt
  • Entre les bronchioles interrompues, on voit des structures plus fines qui commencent à décrire une alvéole
  • Coupe au trichrome de Masson
    Dans cette coupe, on voit qu'on est dans le parenchyme en raison de la présence de nombreux espaces aériens et de tissus conjonctifs très fins caractéristiques de l'alvéole
  • Bronchiole terminale
    Au niveau de la bronchiole terminale, on est en présence du parenchyme, avec beaucoup de lumière aérienne et très peu de tissu, donc dans le parenchyme pulmonaire
  • L'argument qui permet d'affirmer qu'on est dans la bronchiole de transition est la diminution des petites taches turquoise, indiquant une diminution de la quantité de collagène, avec un épithélium de plus en plus fin et des interruptions
  • Un épithélium de plus en plus fin avec des interruptions nous fait dire qu’on est plutôt dans la bronchiole de transition
  • Le canal alvéolaire est un canal qui va s’ouvrir, qui est plutôt large et qui ne possède plus vraiment de bords aussi marqués que la bronchiole de transition
  • Au niveau histologique, c’est compliqué de distinguer les éléments (bronches, bronchioles, sac alvéolaire et alvéoles)
  • Des canaux alvéolaires vont se poursuivre les sacs alvéolaires
  • Les alvéoles ressemblent à des hexagones, elles se définissent par un endroit aérien qui est clos relativement peu épais
  • Après une coloration à l’orcéine qui met en évidence les fibres élastiques uniquement des tissus conjonctifs, on voit que l’alvéole est très riche dans des points cruciaux en orcéine là où se retrouve l’élastine
  • Au cours du développement, il y a la mise en place des canaux alvéolaires des sacs alvéolaires et qu’ensuite finalement ces sacs alvéolaires servent de compartimentations
  • L’élastine sera retrouvée au niveau des bourrelets d’insertion et au niveau des septas secondaires
  • Si cela avait été un biais de coupe, on n’aurait pas eu l’épithélium qui se poursuit, il y aurait un arrêt
  • On est sur un épithélium qui va s’affiner, qui est presque assimilable notamment à ce qu’on peut voir dans une alvéole
  • Au niveau des alvéoles, on peut voir une teneur maximisée en élastine, qui permet de donner cette plasticité au parenchyme pulmonaire et qui est très riche au niveau des alvéoles
  • Un acinus correspond anatomiquement à la partie dilatée et alvéolisée qu’on peut visualiser dans le parenchyme, il est tributaire d’une bronchiole respiratoire
  • Les sacs alvéolaires sont un petit peu l’impasse du canal alvéolaire, c’est un large conduit fin qui a une forme de conduit aérien cylindrique, on voit à la fin des sortes d’impasse caractéristique des sacs alvéolaires
  • Développement des alvéoles
    Mise en place des canaux alvéolaires et des sacs alvéolaires, puis septation secondaire pour définir les alvéoles
  • Les modèles précliniques utilisés dans les recherches cliniques sont des modèles animaux, principalement des souris, en raison de leur diversité des outils moléculaires, leur robustesse, leur durée de vie en laboratoire d'environ 2 ans, leur capacité de reproduction de 21 jours de gestation, et leur similarité avec l'humain au niveau génomique
  • Les anneaux cartilagineux présents dans la partie supérieure de la trachée chez l’homme sont retrouvés chez la souris, mais les bronches chez la souris n'ont que du cartilage au niveau trachéal et des bronches principales, contrairement à l'homme qui présente des plaques cartilagineuses dans la trachée et les bronches principales secondaires et tertiaires, montrant une plus grande malléabilité précoce des bronches chez la souris
  • Localisation de l’élastine
    Au niveau des bourrelets d’insertion et au niveau des septas secondaire
  • Les modèles animaux restent des modèles et présentent des divergences avec la physiologie respiratoire humaine sur plusieurs points
  • Sécrétion d’élastines
    Les fibroblastes sécrètent énormément d’élastines dans les alvéoles construites par cloisonnement au bout du septa secondaire
  • Glandes sous-muqueuses chez l'homme
    • Présentes depuis la trachée jusqu'aux bronchioles, moins présentes jusqu'à la bronchiole terminale car le mucus n'est pas sécrété dans les alvéoles