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• La Classification APG (« Angiosperm Phylogeny Group ») est celle utilisé, c’est une classification phylogénétique basée sur l’analyse de deux gènes chloroplastiques ainsi un gène nucléaire de ribosome. Elle définit des clades (=groupe) monophylétiques (=même ancêtre commun). APG 2 paru en 2003. (Celle qu’on utilisera), APG 4 est une mise à jour parus en 2016. La classification évolue au cours des recherches et des analyses.

  Trois familles représentent à elles seules ¼ des Angiospermes : les Astéracées, les Fabacées et les Orchidacées. (ça peut tomber à l’exam)
• Coupe de fleur

  A) Stigmate

  B) Style

  C) Ovaire

  D) Carpelle

  E) pétale

  F) anthère

  G) Ovule

  H) sépale

  I) filet

  J) étamine

  K) récéptacle florale

  L) pédoncule floral

  
• Le gynécée est le pistil, c’est-à-dire un ou plusieurs carpelles (avec un ovaire, un style et un stigmate) tandis que l’androcée est l’ensemble des étamines ; le tout étant les pièces fertiles.
• La disposition florale des pièces florales se fait généralement de manière alterne (sépale-pétale-étamine) sur les verticilles sauf pour les carpelles. On distingue l’insertion spiralée (pour les espèces primitives) de l’insertion en verticilles (ou cycles) qui est un critère d’évolution.
• Au cours de l’évolution, il y a une tendance à se cycliser : permet une stabilisation

  Nombre de pièces florales :

  −         Verticille à 5 pièces → fleur pentamère (5 pétales, sépales, étamines)

  −         Verticille à 4 pièces → fleur tétramère

  −         Verticille à 3 pièces → fleur trimère

   

  ⮚      Fleur à 4 verticilles (cycles) → fleur tétracyclique

  ⮚      Fleur à 5 verticilles → fleur pentacyclique (2 types d’étamines)
• Pour la symétrie, on parle de fleur actinomorphe en cas de symétrie radiale (plusieurs axes de symétrie par les carpelles) alors qu’une fleur zygomorphe n’aura qu’un plan de symétrie pour une symétrie bilatérale.
• Position gynécée + position pièces florales

  A) supère

  B) semi-infère

  C) infère

  D) épigyne

  E) périgyne

  F) hypogyne

  
• C’est lui qui inventa la Nomenclature Binomiale où le nom d’espèce est constitué par la combinaison de 2 noms latins : le binôme.
• Nom de genre seul avec sp pas de nom d’espèce spéciale cela regroupe toute les plantes du genre.

  Le nom latin permet de pouvoir reconnaitre la plante peu importe le pays et la langue.
• A propos des synonymes du nom scientifique ou latin :

  En plus de son nom scientifique valide, une espèce peut posséder plusieurs autres noms scientifiques : synonymes, quand elle a été décrite et nommée plusieurs fois depuis 1753. Le nom retenu étant le plus ancien suivant une règle d’antériorité.
• Noms de familles :

  −         Version française en -acées (« Renonculacées ») ;

  −         Version latine en -aceae (« Ranunculaceae »).

  ⮚      Les deux sont justes
• Ce qu’il faut retenir de ces 416 familles (chez les angiospermes) , trois familles regroupent à elles seules ¼ des Angiospermes :

  Les Fabacées, les Orchidacées (beaucoup en milieux tropical, représentent la plus petite famille des 3) et les Astéracées (la plus importante, (inflorescence en capitule)).
• Le périanthe correspond à l’ensemble des pièces stériles de la fleur (on dit un sépale et un pétale). Rôle attractif pour les insectes.
• Au cours de l’évolution, il y a une tendance à se cycliser : permet une stabilisation

  Nombre de pièces florales :

  −         Verticille à 5 pièces → fleur pentamère (5 pétales, sépales, étamines)

  −         Verticille à 4 pièces → fleur tétramère

  −         Verticille à 3 pièces → fleur trimère

   

  ⮚      Fleur à 4 verticilles (cycles) → fleur tétracyclique

  ⮚      Fleur à 5 verticilles → fleur pentacyclique (2 types d’étamines)