DUVAL 1 et 2

Cards (89)

  • Un virus n’est pas vivant car il n’est pas capable de se développer tout seul, car tant que le virus n’est pas capable d’infecter une cellule, il ne se passera rien
  • Cycle de multiplication virale = complexe, il arrive que les cellules infectées ne produisent pas de virus ; parfois certains autres virus sont mal assemblés donc il y a perte de l’infectiosité.
  • Diamètre (dimension) inférieur(e) à 250nm = invible à l’oeil, il faut un microscope électronique. On peut voir un effet cyto-pathogène, signe de l’infection au microscope « classique » (effet cytopathogène visible en MO, mais attention virus lui-même pas visible : besoin de passer au ME)
     
  • Un seul type d’acide nucléique : ARN ou ADN
  • Le virus a une absence d’équipement enzymatique pour la production d’énergie ! (Attention, certaines cellules possèdent des enzymes spécifiques de certains virus, impliquées dans transcription du génome, d’autres également dans maturation comme les protéases)
  • Absence de division binaire ce qui signifie qu’un virus ne peut pas en donner 2 autres
  • On peut trouver des virus chez une bactérie-> Bactériophage
  • Le virus est incapable de croître et de se diviser seul. Il ne peut pas faire de l’énergie. Tout le processus énergétique est fourni par la cellule qu’il parasite. 
     
  • « Parasite » absolu de la cellule hôte (cellule permettant la multiplication du parasite, avec obligation de contact entre le virus et la cellule. On qualifiera cette cellule de « permissive »).
  • Reproduction par réplication à partir de son seul matériel génétique.
  • La vie parasitaire est variable : le virus Delta par exemple, qui n’a qu’un seul gène, parasite un autre virus (le VHB), alors que certains virus ont un génome codant pour des centaines de gènes. 
  • Un virus peut facilement passer de l’Homme à l’animal et de l’animal à l’Homme 
  • Trois théories de l’origine des virus :
    •      L’évolution régressive 
    •      L’origine cellulaire 
    •      Les entités indépendantes 
  • Les 3 domaines de la vie sont bien définis, suivant un arbre phylogénétique basé sur la 16S ARNr qui montre l’existence de 3 branches de la vie 
  • Les procaryotes sont divisés en 2: arche et bactéries
  • Les mimivirus (retrouvés dans le permafrost) sont des entités ressemblant à un virus (très gros ++ <250nm) retrouvés au niveau de parasites.
  • Structure générale d'une particule virale
    A) Glycoprotéines
    B) Capside
    C) Acides nucléiques
    D) Enveloppe
  • Compléter
    A) 20 nm
    B) 350 nm
    C) acide nucléique
    D) génome
    E) capside
    F) Enveloppe
    G) matrice protéique
  • Acide nucléique viral
    A) ADN
    B) bicaténaire
    C) ARN
    D) monocaténaire
  • Les catégories de génomes viraus
    A) double brin
    B) simple brin
    C) linéaire
    D) circulaire
  • Génome à ADN bicaténaire (deux brins) linéaire : herpesvirus
  • Génome à ADN bicaténaire (deux brins) circulaire: papillomavirus
  • Génome à ADN partiellement bicaténaire: VHB
  • Génome à ADN monocaténaire: Parvovirus 
  • Génome à ARN monocaténaire linéaire parfois segmenté: Orthomyxovirus
  • Génome à ARN bicaténaire et segmenté: Reovirus
  • Dans les grandes catégories de génomes viraux, on en trouve à polarité positive (+) et d’autres à polarité négative (-). 
  • Dans le premier cas à polarité +, le génome ARN peut directement servir d’ARN messager donc de matrice pour synthétiser des protéines : dans le second cas à polarité -, il ne peut pas servir à la synthèse protéique, il doit être rétrotranscrit en ARNm pour cela.
  • On parle de polarité de virus uniquement pour les virus à ARN simple brin 
  • Un virus de polarité + veut dire que ce génome peut directement servir de matrice pour la synthèse de protéine. C’est l’équivalement d’un ARN messager.
  • Attention, très important : Ne pas confondre capside virale et capsule bactérienne
  • La capside est solide et permet de reproduire d’ autres particules virales
  •  Le génome ne peut pas être plus grand que la capside.
  • On connait le virus, on a une cible thérapeutique puis un médicament.
  • La capside virale est constante et permet de limiter la taille du génome viral
  • Cette capside est de nature protéique, elle est édifiée à partir de polymérisation d’un petit nombre de sous-unités protéiques.
  • La capside est organisée selon différentes géométries, avec 2 principaux types de symétrie :  Hélicoïdale (en hélice) ou Cubique (en icosaèdre). 
  • La nucléocapside à symétrie hélicoïdale 
     
    Le nombre de sous-unités (abrégée « s/u ») protéiques
    La présence ou non de tours (ou « Pas »)
    L’angle ϕ (phi)Le diamètre 
    •      La longueur de l’hélice.
    Nucléocapside = capside structuré, polymérisé autour d’un acide nucléique.
     
  • La nucléocapside à symétrie hélicoïdale :
    Le nombre de sous-unités (abrégée « s/u ») protéiques
    La présence ou non de tours (ou « Pas »)
    L’angle ϕ (phi)
    Le diamètre 
    La longueur de l’hélice.
     
  • Nucléocapside = capside structuré, polymérisé autour d’un acide nucléique.