Lejzerowicz 1

Cards (54)

  • A un moment donné, perte d’équilibre entre cellules tumorales et système immunitaire en faveur des cellules tumorales.
  • Première fonction du système immunitaire est de nous protéger contre les agents infectieux
  • Deuxième fonction du système immunitaire: reconnait les greffons tissulaires et les protéines nouvellement introduites et y répond
  • Ce que le système immunitaire peut « louper » sont les cellules tumorales (et parfois virus).
  • Reconnaissance immunologique = détection de l’infection
  • Rétrocontrôle de la réponse immunitaire = régulation immunitaire  Systèmes de régulation-> C’est la tolérance immunitaire.
  • Mémoire immunitaire -> Les vaccins
  • La réponse immunitaire est classiquement divisée en : 
    Réponse immunitaire innée ou non spécifique 
    Réponse immunitaire adaptative ou spécifique 
  • Réponse immunitaire innée ou non spécifique : peu importe l’agent pathogène qui va rentrer dans l’organisme , la réponse est toujours la même, elle n’est pas produite spécifiquement.
  • Réponse immunitaire adaptative ou spécifique : 3 à 5 j pour se mettre en place, plus longue car spécifique mais beaucoup plus puissante, stimulée lors de la vaccination : s’adapte à l’agent pathogène
  • La première réaction va être l’inflammation qui va recruter ce qu’on a besoin dans le sang et va envoyer des signaux encore plus puissant dans l’organisme pour mettre en place la réponse spécifique.
  • Les 2 types de réponses immunitaires:
    A) barrière épithéliale
    B) Phagocytose
    C) Complément
    D) Lymphocytes B
    E) Anticorps
    F) Lymphocytes T
    G) Lymphocytes T effecteurs
    H) Innée
    I) adaptative
  • Explication du schéma :
    L’immunité innée intervient très rapidement. Les barrières épithéliales sont les premières qui nous protègent du pathogènes. Si l’agent pathogène rentre : Les premières cellules de l’immunité innées sont les phagocytaires (à la base sont des monocytes dans le sang et des macrophages dans les tissus) et les PNN. On a enfin les compléments et les cellules NK qui agissent différemment. 
  • Fin de l'explication du schéma:
    Dans les 3 à 5jours, il y aura l’immunité adaptative : on aura les lymphocytes T qui vont s’activer et devenir des effecteurs. De l’autre côté on a les lymphocytes B qui se transforme en plasmocytes qui sont des usines a production d’anticorps. 
  • Barrière épithéliale = premier niveau
  •  Macrophages / monocytes 
    Rentrent au contact des 1ere cellules
    Capables de faire la phagocytose, de dégrader agents pathogènes
    Capable de faire de la présentation antigénique
  • Polynucléaires: Elles ont bcp de granules notamment des enzymes qui contribuent à la destruction des agents pathogènes.
  • Cellules de Langerhans : cellules dendritiques qui sont sur la peau à la porte d’entrée des agents patho. La cellule internalise le pathogène avec ses dendrites l’agent pathogène. Elle va dégrader et migrer via la lymphe via le ganglion le plus proche. Elles sont capables de présenter des bouts de l’agent pathogène à leur surface et activent l’immunité spécifique.
  • Cellules dendritiques: Elles constituent un lien fondamental entra immunité inné et acquis.
  • Cellules présentatrices d’antigène  : Capable de capter Ag puis migrent via la lymphe et rejoignent les organes lymphoïdes secondaires = ganglions où elles vont présenter un fragment du pathogène aux lymphocytes T pour l’immunité spécifique et permettre son activation 🡪 un des premiers liens
     
  • Les cellules NK Natural killer :
    Grand lymphocytes avec grand noyau, contient bcp de granules qui permettent de tuer cellules infectées ou tumorales
    Cellules kamikazes
  • Les cellules phagocytaires reconnaissent des structures très conservées des éléments pathogènes
  • PAMPs = motifs moléculaires associés à l’agent pathogène
  • Un motif très conservé sur les agent pathogènes: Lipopolysaccharides spécifique aux bactéries Gram
  • PAMP's des bactérie Gram +: Peptidoglycanes
  • PRR: Pattern recognition receptor : Les récepteurs qui reconnaissent les PAMPs =
  • Les différents types de récepteurs qui reconnaissent les PAMPS sont récepteurs d’endocytose, récepteurs transmettant un signal, récepteurs sécrétés 
  • Les cellules de la réponse immunitaire innée vont reconnaitre toutes les cellules et il faut que les motifs clés des agents pathogènes soient reconnus pour cibler et donc tuer les agents pathogènes.
  • On arrive à l’élimination du pathogène grâce à la fusion entre phagosome et lysosome.
  • Les grands mécanismes de l’élimination des agents pathogènes une fois qu’ils ont fusionner sont les ROS qui font une cascade enzymatique et dérivés de l’oxygène (radicaux libres).
  • Granulomatose:  déficit immunitaire : défaut d’une des enzymes qui forme ces ROS donc on aura pas de production de radicaux libres (dérivés de l’oxygène)
  • Phagocytose :
    Chimiotactisme 
    Fixation du microorganisme
    Internalisation par le Macrophage.
    Fusion phagosome-lysosome
  • Dégradation de l’élément pathogène : Comment ? L’axe oxydatif 
  • L’axe oxydatif : capacité à produire radicaux libres dérivés de l’oxygènes. Utilise radicaux oxygénés et azotés
  • L’axe oxydatif ? produire des intermédiaires réactifs de l’O2 : NADPH phagosome oxydase  
  • Granulomatose septique chronique
    = Amas de macrophage. Déficit en une des protéines de la NADPH car leur gène était muté. Pas de génération de radicaux libre et de dérivés de l’oxygène. Lorsque la cellule phagocytose internalise, comme il n’y a pas activation de lysosome et prod de radicaux libre, il y a internalisation de l’agent pathogène mais elle ne sont pas éliminées par la cellule et donc il y a création d’ama.
  • Il faut que le récepteur membranaire de la cellule phagocytaire ait une partie intracytoplasmique. L’extérieur permet la reconnaissance et l’intérieur permet la transmission du signal à l’intérieur. Si pas de partie intracytoplasmique on aura un associé qui pourra jouer ce rôle de transmission.
  • Récepteurs transmettant un signal: Toll Like Receptors (TLR) à ne pas confondre avec le TCR (récepteur des lymphocytes T)
  • Retenir que les cellules dendritiques font le lien entre la réponse immunitaire innée et acquise 
  • Lorsque le récepteur rencontre un ligand (motif reconnu sur agent pathogène). Il active la voie de transduction du signal mais n’induisent pas de phagocytose. Ils transmettent un signal de la membrane jusqu’au noyau, de manière à induire l’expression de gènes impliqués dans la réponse immunitaire.