Varie en fonction du calibre/taille du vaisseau et du débit sanguin
Au niveau des capillaires fœtaux ou maternels, débit quasiment nul et pression hydrostatique exercée par le liquide sur les parois d'une surface qui contient ce liquide
Synonyme de concentration, quantité d'oxygène dissout dans le plasma sanguin, indépendante de la pression sanguine, dépend de la constante de solubilité du gaz
Pression partielle en O2 est proportionnelle à la PpO2 d'un gaz à l'interface avec la phase liquidienne, au niveau de l'alvéole pulmonaire maternel, à la barrière alvéolo-capillaire
Transport d'O2 en milieu aérien avec débit ventilatoire, puis en milieu liquidien avec débit cardiaque
Consommation d'O2 ou respiration cellulaire au niveau musculaire par les mitochondries, entrainant un appauvrissement en oxygène et un enrichissement en CO2 du milieu intérieur
Adaptations du débit ventilatoire et du débit cardiaque pour maintenir constant au niveau des capillaires la PpO2, la PpCO2 et le pH, sous l'influence de la réponse musculaire
Mesure de l'air inspiré et expiré par un débitmètre chez un sujet assis, avec possibilité de placer deux curseurs marquant le volume de l'inspiration et de l'expiration
Ventilation sous le contrôle du métabolisme musculaire
Sujet allongé avec un pédalier fixe, anémomètre avec capteur d'O2 placé au niveau de la bouche
Augmentation du débit cardiaque QĊ, de la consommation d'O2 au niveau des mitochondries, et de la conductance diffusive de l'interface entre les capillaires systémiques et la cellule musculaire
1. Vasodilatation musculaire : Augmentation du débit sanguin au niveau des capillaires musculaires : x 10
2. Augmentation du nombre de capillaires qui perfusent une fibre musculaire : Recrutement de capillaires musculaires participant au maintien de l'homéostasie
PpO2 et vapeur d'eau au niveau des voies aériennes
Air inspiré se saturant en vapeur d'eau dans les voies aériennes, PpH2O autour de 47 mmHg dans les voies aériennes : Vapeur d'eau indépendante de l'altitude
1. Au niveau alvéolaire : Meilleure élimination du CO2, Diminution de la PpCO2, Augmentation de la PpO2, Conductance diffusive de la barrière alvéolo-capillaire inchangée
2. Au niveau des capillaires : Augmentation importante de la PpO2 des capillaires systémiques et pulmonaires, en raison d'une consommation d'O2 inchangée
3. Au niveau cellulaire : Pas de modification de la consommation d'O2 des cellules, PpO2 intracellulaire constante, Augmentation de la PpO2 des capillaires veineux systémiques, Augmentation du gradient capillaro-cellulaire, Consommation d'oxygène inchangée, Diminution de la conductance diffusive, Vasoconstriction des capillaires
Effets de l'hyperventilation au repos au niveau de l'Everest
1. Au niveau alvéolaire : Élimination totale du CO2 grâce à l'hyperventilation, Diminution de la PpCO2, Augmentation artificielle de la PpO2 avec une valeur proche de 40 mmHg, Conductance diffusive de la barrière alvéolo-capillaire inchangée
2. Au niveau des capillaires : Adaptation de l'hémoglobine avec libération d'O2
3. Au niveau cellulaire : Fonctionnement des cellules avec une PpO2 = 15 mmHg, Diminution de la quantité d'O2 disponible pour les muscles
1. Entraînement physique : Permet d'améliorer la capacité des muscles à consommer l'O2, le transport de l'O2, la conductance
2. Conditionnement à l'hypoxie : Permet de développer des moyens d'adaptations du corps à l'hypoxie, Permet d'habituer le corps à l'hypoxie, 2 moyens : Nuits dans des tentes en atmosphère appauvrie en O2, Acclimatation avec des stages d'entrainement en altitude
Plaque motrice (motoneurone et synapse) stimulant la fibre musculaire, Selon les caractéristiques d'entrainement, activation de messagers intracellulaires qui activent des facteurs transcriptionnels : Protéines qui se fixent sur des régions spécifiques du gène et qui induisent la synthèse de protéines, Donnant un phénotype particulier au niveau du muscle permettant d'améliorer la conductance et la consommation d'oxygène, Notion de plasticité musculaire et phénotype musculaire
Muscles spontanément plus riches en fibres de type I qu'en fibres de type II, Motoneurones stimulant les muscles en fonction de leur phénotype : Muscles avec des fibres de type I stimulés sur la durée avec une intensité réduite, Muscles avec des fibres de type II stimulés de manière plus intense mais sur une durée plus courte