Gantzer 4

Cards (38)

  • Croissance bacétrienne
    A) Pase de latence
    B) Pase d'accélération
    C) Phase exponnentielle
    D) Phase de décélération
    E) Phase stationnaire
    F) Phase de mortalité
  • Phénomène de diauxie: La bactérie s’adapte deux fois au milieu en choisissant son nutriment parmi deux nutriments présents
  • Phénomène de diauxie:
    A) Phase de latence
    B) Consommation de glucose
    C) Absence de glucose
    D) Consommation de lactose
  •  Culture en continu
     
    C’est alimenter en continu un réacteur avec du milieu pour maintenir la phase de croissance et donc l’activité des bactéries => on ne veut jamais qu’elle soit en phase de stationnaire
    par exemple pour synthétiser la protéine que l’on veut qu’elle synthétise
     
    • milieu minimum (prototrophe) : pour des bactéries qui n’ont pas d’auxotrophie 
    • milieu riche (auxotrophe ; sang): pour des bactéries qui ont des exigences 
    • milieu sélectif (Chapman ; caractéristiques de la bactérie (ex pour les staphylocoques = croissances avec des activités en eau plus faible, stabilisé par sel ou sucre) , le milieu possède du NaCl en plus forte concentration) solide ou liquide 
  • -milieu chromogène, indicateurs colorés 
     
  • Méthode énumérative : UFC
     
    C’est un dénombrement des bactéries par ensemencent de différentes dilutions de la suspension bactérienne à étudier en milieu gélosé 
  •  UFC
    On réalise des dilution en cascade
  • Le principe de la méthode de type quantique NPP (nombre le plus probable) permet de transforme un résultat qualitatif pour donner un résultat quantitatif en utilisant un principe statistique du maximum de vraisemblance
  • Méthode NPP:
    On va d’abord faire des dilutions et on va inoculer 5 milieux liquides différents, et on regarde les flacons positifs (troubles) (qui ont montré une croissance bactérienne)
    En dessous de 10-5 de dilution, on aurait eu toujours 5 flacons de positifs et au-dessus de 10-8 de dilution, on aurait toujours eu 0 flacon de positif. 
  • La NPP demande de choisir 3 dilutions où on passe de 0 à 5 .
    Triplet informatif : c’est pour être dans la zone où on passe de 5 à 0 et que les trois dilutions se suivent 🡪 si on saute une dilution, on va avoir des trous et on ne va pas comprendre 🡪 mais on peut utiliser cette méthode en n’utilisant pas des dilutions avec des facteurs de 10                                      Plus on ensemence de flacons, plus les résultats seront précis 🡪 il vaut mieux utiliser la méthode énumérative  
  • UFC et NPP permettent de compter les bactéries vivantes alors que les méthodes directes/après culture ci-dessus comptent le nombre total de bactéries (vivantes + mortes)
     
  • Le prélèvement est a la base de l’analyse biologique 
  • Hémoculture => cultiver la bactérie directement dans le sang qu’on vient de prélever, dans le tube il y a déjà un milieu lyophilisé qui contient un certain nombre de facteurs
  • Culture = amplifier le signal
  • Culture:
    Dans une hémoculture, si elle est négative : pas d’émission de CO2 donc pas de bactérie à priori et si elle est positive : on a une émission de CO2 qui a priori provient d’une colonie  
  • Comme le sang est un milieu turbide, on va déceler une croissance bactérienne par mesure indirecte du CO2
  • On précise si la bactérie est en aérobie ou anaérobie
  • Dans le flacon anaérobie, le milieu doit être suffisamment réducteur pour piéger l’oxygène et l’atmosphère est anaérobie 
  • Mesure indirecte du CO2 = couleur fluorescente avec un réactif déjà présent
  • Dès que l’automate perçoit une augmentation de CO2, une alarme se met en route et ça veut dire qu’il y a une bactérie dans le sang : hémoculture positive
  • on réalise un isolement de la bactérie sur milieu solide à partir de l’hémoculture positive ou prélèvement positif 
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    IMPOSSIBLE D’IDENTIFIER UN MELANGE DE BACTERIES c’est pourquoi il est important d’isoler une bactérie. 
     
  • 1ère étape : Coloration de Gram / morphologie : en fonction de ce que l’on observe, on peut réaliser des tests biochimiques.
  •  
     Pour déterminer une bactérie cocci à Gram +, on fait le test de la catalase ; s’il est positif, la bactérie est du genre Staphylococcus (aureus présumé si le test de la coagulase est positif) sinon s’il est négatif, il s’agit d’un Streptococcus et de là, on étudie l’hémolyse (partielle = α ou totale= β).
  • Pour déterminer une bactérie Bacillus à Gram -, on effectue le test de l’oxydase ; s’il revient positif on s’oriente vers Pseudomonas ce n’est pas une entérobactérie, mais il y a d’autres types d’espèces, Pseudomonas n’est pas la seule à présenter une oxydase + et s’il est négatif, on se tourne vers les entérobactéries (Escherichia coli ; Proteus). Si bactérie Bacillus à Gram -, il est inutile de faire la catalase.
     
     
  • L’hémolyse
    A) partielle
    B) totale
  • Colonie isolée : identification 
     
    Galeries (manuel) ou automates (automatique) : milieux qui donnent un certain nombre de caractères à la bactérie (fermentation, sucres …) ; on parle de micro-méthode et d’automatisation. 
  • Micro-méthode: Dans chaque puit on a un milieu différent, en partant de notre colonie isolée on va la diluer dans un peu de tampon qu’on va prélever avec une pipette et on va remplir toutes les cupules avec la même bactérie (20 milieu différents adaptés pour pouvoir déterminer un caractère précis le lendemain). 
  • 20 caractères suffisants si on a déjà fait le tri avant. Ex : il faut déjà savoir si c’est une entérobactérie pour savoir quelle galerie utilisée (API 20E)
  • Galerie API20E (E = entérobactérie) : on récupère la colonie bactérienne, on la met en suspension et on ensemence un petit volume de la même bactérie dans chacun des puits. Dans chacun d’eux, il y a un milieu différent : la bactérie va croître ou non 🡪 cela permet de définir 20 caractères de la bactérie. 
  • ONPG = béta galactosidase
  • On obtient à la suite un logigramme qui permet d’identifier la bactérie 
  • Analyse directe : coloration de Gram : (forme + couleur)
  • ON NE FAIT PAS DE TEST quand il y a un MELANGE DE BACTERIES.
  • Spectrométries de masse: Pour une même espèce bactérienne, on aura le même spectre. On a donc besoin d’une banque de spectre pour comparer les résultats.