Annale

Cards (221)

  • Les nuclĂ©ides ayant un rapport N/Z = 1 sont stables seulement pour Z < 20.
  • Noyau = 𝟏𝟎'𝟏𝟓 m ; Atome = 𝟏𝟎'𝟏𝟎 m.
  • La masse Ă©nergĂ©tique de l’électron est de 511keV.
  • Z = numĂ©ro atomique = nombre de protons
    A = nombre de masse = nombre de nucléons (nucléons = proton + neutron).
  • Lorsque n=4, l peut prendre 4 valeurs soit 0,1, 2 et 3.
  • p = 6 Ă©lectrons max
  • : Le degrĂ© de fonction de l’atome de carbone dans le CO2 est Ă©gal Ă  4.
  • Une molĂ©cule qui comporte 10 carbones linĂ©aire, il a pour prĂ©fixe : dĂ©c
  • He Ă  bloc s = 𝒏𝒔𝟐
  • Alcalino-terreux : 2Ăšme colonne, de type ns2
    Calcium Ca : Z = 20 Ă  1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 4s2 Ă  On s’intĂ©resse Ă  la couche externe (derniĂšre sous-couche) : 4s2 Ă  4Ăšme pĂ©riode (ligne) car n = 4 et 2Ăšme colonne car x = 2 (2 Ă©lectrons)
  • Le phosphore est plus Ă©lectropositif que le soufre.
  • Deux Ă©lĂ©ments de mĂȘme famille ont mĂȘme nb d’électrons de valence.
  • RĂšgle de Sanderson = Permet de dĂ©finir si un Ă©lĂ©ment est un mĂ©tal ou non
  • ÉlectronĂ©gativitĂ© E - = tendance d’un Ă©lĂ©ment Ă  attirer un Ă©lectron quand il se trouve associĂ© Ă  d’autres Ă©lĂ©ments
  • ÉlectropositivitĂ© E + = tendance d’un Ă©lĂ©ment Ă  perdre un Ă©lectron
  • DĂ©finition de Pauling : DĂ©termine la valeur d’électronĂ©gativitĂ© des Ă©lĂ©ments en affectant la valeur E- = 4 pour le Fluor (l’élĂ©ment le + Ă©lectronĂ©gatif, situĂ© en haut Ă  droite de la classification) et en dĂ©duisant les autres valeurs de proche en proche dans une Ă©chelle relative jusqu’à l’élĂ©ment CĂ©sium (le moins Ă©lectronĂ©gatif, situĂ© en bas Ă  gauche de la classification).
  • l’électronĂ©gativitĂ© augmente dans une mĂȘme pĂ©riode de gauche Ă  droite et diminue dans une mĂȘme famille du haut vers le bas
  • DĂ©termination du nom d’une molĂ©cule fonctionnalisĂ©e :
    1. DĂ©terminer la fonction principale : suffixe
    2) DĂ©terminer la structure de base : chaĂźne ou cycle
    3) Nommer les substituants
    4) Numéroter
    5) Assembler les noms des substituants selon l’ordre alphabĂ©tique.
  • LediclofĂ©naccontientunefonction amine
  • on numĂ©rote les carbones de façon a ce que la chaine du groupement alcĂšne porte le plus
    petit chiffre
  • Un hĂ©tĂ©roatome correspond aux atomes qui ne sont ni des carbones, ni des hydrogĂšnes. Or
    dans cette molĂ©cule contient un atome d’oxygĂšne, elle dĂ©tient donc un hĂ©tĂ©roatome.
  • l’atome de chlore est plus Ă©lectronĂ©gatif que l’atome de carbone (voir le tableau pĂ©riodique)
  • Configuration E car les deux groupements chlore sont de cĂŽtĂ©s opposĂ©s
  • Configuration Z car les deux groupements chlore sont du mĂȘme cĂŽtĂ©
  • Pluslavitessedelaparticuleestlente,plusleTELest Ă©levĂ©e.
  • LacĂ©lĂ©ritĂ©desondessonoresestplusimportantedanslesliquidesquedansles gaz.
  • Chez la femme,lesvaleursnormalesdel’hĂ©moglobinesontcomprisesentre12et16g/dl.Ici, la valeur Ă©tant de 7 g/dl, il y a bien une anĂ©mie. Le VGM est infĂ©rieur Ă  80 fl, elle est donc microcytaire. Elle est Ă©galement hypochrome : TCMH < 27 pg.
  • Lesvaleursnormalessontcomprisesentre4et10G /lpourlesleucocytes.
  • Lesvaleursnormalessontcomprisesentre0,2et1G/lpour lesmonocyte
  • Les valeursnormalessontcomprisesentre150et400G/lpourlesplaquette
  • :L’électron est une particule lĂ©gĂšre.
  • L’interactionentrelaparticuleetlenoyausenomme freinage
  • L’interactionentreleparticuleetl’électronsenomme collision.
  • LĂ©sionn’estpastoujoursspĂ©cifiqued’une pathologie.
  • la cytoponctionpossĂšdeundĂ©lai2Ă 3foispluslongquelacytologie.
  • T2 est beaucoup plus court que le T1 Ă  GĂ©nĂ©ralement d’un facteur 10 entre T1 et T2
  • L’activitĂ©correspondaunombrededĂ©sintĂ©grationparunitĂ©detemps,soit A=dN/dT
  • Principe du mode Doppler:
    o Ensystole,lefluxaccélÚre(vaugmente). o Endiastole,ilralentit(vdiminue)
  • Dans une Ă©chographie (fiche 5) :
    • Les structures avec de l’air sont trĂšs Ă©chogĂšnes (poumons, intestins), tout comme les structures avec du mĂ©tal ou du calcium.
    • LesstructurespeuĂ©chogĂšnessontdesstructuresliquidiennes(kystes,vaisseaux).
    • Onutiliseungeldecontactentrelasondeetlapeaupourpermettreunetransmissionoptimale entre peau et ultrasons
  • Dans les transformations radioactives, il y a toujours une conservation de la charge de
    l’énergie et de la quantitĂ© de mouvement.