Cards (10)

  • Les frises du Parthénon ont été faite au Vème siècle avant JC, trônant sur les façades du Parthénon, un temple sacré grecque.  
  • En 1816, l'ambassadeur Lord Elgin passe un accord avec l'Empire Ottoman (qui occupe la Grèce) pour récupérer les frises du Parthénon. Cet accord ne doit servir qu'à l'examination des frises, celles-ci doivent ensuite être rendues.
  • Ces morceaux de la frise sont exposés par le British Museum londonien. 
  • Dès 1830, la Grèce fait une demande à l’Angleterre pour que lui soit restituer les frises du Parthénon. Mais, les Anglais refusent avec pour argument que la Grèce ne pourrait pas conserver convenablement les frises. 
  • Pour Athènes, la permission d'emporter les frises a été accordée par l'Empire Ottoman et non la Grèce. Il n'est donc pas valable : ce patrimoine leur appartennant.
  • Le Vatican a symboliquement rendu des morceaux de cette frise à la Grèce.   
  • Peu avant le départ du Royaume-Unis, l’Union Européenne a invité les pays membres à « aborder les questions relatives au retour ou à la restitution vers leur pays d’origine des biens culturels illégalement déplacés ».
  • La Turquie (anciennement l’Empire Ottoman) a elle-même soutenu le droit à la Grèce de posséder les frises du Parthénon 
  • La Grèce a investi dans la rénovation du temple du Parthénon et a construit un musée très moderne de 25 000 m2 de superficie  
  • Le British Museum londonien a accepté de restituer quelques parties de la frise seulement : la collection représentant le rôle de la Grèce Antique dans l’histoire de l’humanité, elle est donc universelle. Mais, Athènes entend bien continuer à exiger une restitution totale.