2. Ecologie des Populations (2)

Cards (44)

  • Structure génétique des populations= décrire la variabilité génétique au sein des populations :
    • diversité des phénotypes,
    • diversité des génotypes,
    • diversité des allèles
  • Décrire la composition génétique d'une population
    A) phenotypes
    B) genotypique
    C) allèles
    D) polymorphisme
  • Organismes haploides
    1 seul allèle porté par individu pour chaque gène = lien phénotype/génotype DIRECT
  • Organsimes diploides
    • 2 allèles potentiellement différent pour chaque gene= lien phénotype/genotype peut être masqué
    • Frequences phenotypiques, genotypiques et alléliques pas forcement identiques
  • Structure génotypique : ensemble des fréquences des différents génotypes existant pour un locus donné au sein de la population
  • Structure allélique : ensemble des fréquences des différents allèles existant au sein de la population
  • L’équilibre de Hardy-Weinberg: hypotheses de départ
    • Organismes diploïdes à reproduction sexuée
  • L’équilibre de Hardy-Weinberg: hypotheses de départ
    • Panmixie, l’appariement des allèles au cours de la reproduction se fait de manière aléatoire
    • individus et allèles s'associent aléatoirement, pas d'appariement preferentiel
  • L’équilibre de Hardy-Weinberg: hypotheses de départ
    • Tous les génotypes ont la même probabilité de participer à la formation de la génération suivante= PAS DE SELECTION
  • L’équilibre de Hardy-Weinberg: Les hypothèses de départ
    • La population a une taille suffisamment importante pour que l’effet des fluctuations des fréquences alléliques soit négligeable = PAS DE DERIVE GENETIQUE
  • L’équilibre de Hardy-Weinberg Les hypothèses de départ:
    • Il n’y a pas de mouvements d’individus= PAS DE BRASSAGE GAMETIQUE PAR MIGRATION
  • L’équilibre de Hardy-Weinberg: Les hypothèses de départ
    • Il n’y a pas de mutation= PAS DE NOUVEAUX ALLELES
  • En absence de selection, migration, mutation, pour une population de taille suffisamment grande, les frequences des allèles sont constantes au cours des generations:
    • Si écart entre fréquences observées et fréquences attendues à l’équilibre HW: au moins 1 des conditions n’est pas satisfaite: structure génétique EVOLUE
  • Si les allèles se trouvent sur un locus présent sur un chromosome sexuel (régions non homologues), les fréquences génotypiques attendues à l’équilibre de HW varient selon le sexe.
    • Variation inter-individuelles (diversité génétique):
    • a chaque générations: phénotypes favorisant survie et reproduction sont avantagés= SELECTION
  • Valeur sélective: evaluer contribution de chaque génotype a la production a la descendant
  • Cas 1: ω1.1 = ω1.2 = ω2.2
    • Δp = Δq = 0
    • Valeurs séléctives égales
    • PAS DE SELECTION
    • contribuent tous de manière équivalente à la reproduction
  • Cas 2: ω1.1 > ω1.2 > ω2.2 (avantage de l’allèle A1)
    • Fréquence A1 augmente (tend vers 1) et diminution A2 tant que pression de séléction se poursuit
    • A1 se répand jusq’à fixation dans population (frequence =1): tous individus portent cet allèle
    • A2 + rare jusqu'a disparition
  • Cas 3: ω1.1 < ω1.2 < ω2.2 (avantage de l’allèle A2)
    Comme pour avantage A1
  • Si un allèle est plus intéressant qu’un autre, la sélection tend à favoriser cet allèle :
    • sa fréquence augmente au fil des génération, au détriment de celle de l’autre allèle.
    • La sélection naturelle entraîne ici une PERTE du polymorphisme.
  • Cas 4: ω1.1 < ω1.2 > ω2.2
    • La valeur sélective des hétérozygotes est supérieure à celle des homozygotes
  • CAS 5 : ω1.1 > ω1.2 < ω2.2
    • La valeur sélective des deux types d’homozygotes est supérieure à celle des hétérozygotes.
  • 💡 Cas 4-5
    La sélection naturelle ne conduit pas toujours à la fixation et à l’élimination des allèles: peut jouer un rôle important dans le maintien du polymorphisme.
  • La dispersion tend à homogénéiser les fréquences alléliques entre les populations liées par des flux migratoires
    • s’oppose également à la perte de variabilité génétique dans les populations receveuses car la dispersion contribue à l’introduction de NOUVEAUX allèles.
  • Les mutations TRANSMISES A LA DESCENDANCE sont un puissant moteur de l’évolution car elles contribuent en continu à l’augmentation de la diversité génétique des populations.
  • REGIMES NON PANMICTIQUES: Système de reproduction ouvert: Taux d’hétérozygotie SUPERIEUR 2pq
  • REGIMES NON PANMICTIQUES: Système de reproduction fermé= Taux d’hétérozygotie INFERIEUR 2pq
    • Autogamie/autofecondation
    • Chaque gen: proportion individus heterozygotes divisé par 2: association genomes identiques donc production préférentielle de genome identique (homozygotes)
    • Systeme reproduction totalement FERME
    • Situation d’équilibre : fqce(AA) = p et fqce(aa) = q ; tandis que fqce (Aa) = 0
    • Consanguinité= union gametes issus individus apparentés
    • Systeme de reproduction FERMÉ
    • COEFFICIENT DE CONSANGUINITE = probabilité que 2 gènes homologues chez un individu soient identiques (càd. que ce soient 2 copies sans mutation d’un même gène ancêtre).
    • COEFFICIENT DE PARENTE = probabilité que 2 gènes homologues tirés au hasard chez 2 individus soient identiques (établir degré de parenté)
    Coeff parenté + élevé = coeff consanguinité + élevé
    • DEPRESSION DE CONSANGUINITE = conséquences négatives de la perte d’hétérozygotie au sein d’une population ⇒descendants issus du croisement d’individus apparentés sont généralement moins vigoureux et moins résistants aux divers stress environnementaux.
    • faible diversité= risque élevé face aux variations
    • Homogamie= appariement préférentiel entre individus de génotype semblable correspondant à un phénotype particulier (couleur, taille…)
    • FERMÉ ou
    • pour 1 caractère spécifique du génotype: appariement ressort + que la moyenne= favorise diminution taux heterozygotie mais seulement pour ce caractère
    • Systeme PARTIELLEMENT fermé (pour CE caractère)
  • Heterogamie= appariement préférentiel entre individus de génotype différent correspondant à un phénotype particulier (couleur, taille…)
    • Système de reproduction OUVERT ou PARTIELLEMENT OUVERT
    • Croissance exponentielle (population humaine)
    • croissance continue à vitesse exponentielle
    • croissance de + en + rapide
    • proportionelle au nmbr d’individus
  • Croissance exponentielle des populations naturelles = croissance CONTINUE
    • Equation de croissance: Nt= N0. ert
    • Taux de croissance de la population: 𝜟𝑵/𝒅t
    • r= taux de croissance par individu (cste, propre à un individu= BILAN D’EFFECTIF)
  • Taux de croissance de la population= nombre d'individus produits dans un laps de temps MOINS le nombre d'individus décédes
  • Taux de croissance par individu r (= contribution de chaque individu à l'accroissement de la population)
    • Nombre d'individus dans un laps de temps DIVISÉ par le nombre d'individus dans la population
  • Taille de la population en fonction du temps
    • Supérieur à 0: croissance
    • Inférieur 0: croissance négative
    • r=0; croissance nulle
    A) superieur
    B) egal
    C) inferieur
  • Données démographiques continues : la population connaît en permanence des ajouts d’individus (naissances) ainsi que des pertes (décès) ⇒ la natalité et la mortalité sont des processus CONTINUS
  • L’équation de croissance permet de décrire l’évolution démographique de la population en CONTINU