Cette égalité était fondée sur un élément de fait (le roi de France est aussi voire plus puissant de l'empereur germanique, profondément affaibli par ses différents conflits contre la papauté) et un élément historique (à cette époque, les partisans du roi de France s'appuient sur l'histoire carolingienne, et plus spécifiquement sur le partage de Verdun qui a créé trois royaumes indépendants l'un de l'autre)