Chercheurs

Cards (64)

  • Chalmers, A.F.

    "Qu'est ce que la science ?"
  • Larivée, S.

    "Quand le paranormal manipule la science."
  • Matalon, B.

    "Décrire, expliquer, prévoir"
  • Quivi, R et Van Campenhoudt
    "Manuel de recherches en sciences sociales"
  • Roussiau, N

    "Croyances sociales"
  • Gardair, E et Roussiau, N.

    " La superstition d'aujourd'hui"
  • Devereux
    évoque le questionnement vis-à-vis de soi-même.
  • D.T. Campbell

    Validité interne et externe
  • Piaget
    en 1980« Le poids des preuves doit être proportionné à l'étrangeté ou la nouveauté des faits ».
  • Quivy et Campenhiudt
    (2006)une recherche claire est une bonne recherche
  • Gaston Bachelard, 1910

    « Il faut réfléchir pour mesurer et non pas mesurer pour réfléchir »
  • Edgard Morin
    « les théories scientifiques sont mortelles, elles sont scientifiques parce que mortelles »
  • Karl Popper (1904-1994)

    Falsisficationnisme
  • Père Lambert (1900)

    Ouvrage sur les mœurs et les superstitions des néo-calédoniens: Rabaisse la qualité des croyances qui sont différentes
  • Lévy-Brul (1922)

    Parle de pensées primitives ou archaïques de sociétés inférieures (superstitions)
  • Le Larousse (2003)

    Définition de la superstition qui renvoie à une forme de religiosité « bas de gamme ».
  • Askevis-Leherpeux (1986)

    Interrogent 80 étudiants en science humaine, en leur demandant de lister les superstitions qu'ils connaissent
  • Mollet (1984)

    Superstition primaire VS. Superstition élaborée ou savante
  • Jahoda (1968)

    Propose 4 types de superstitions :(Découlant d'une croyance parareligieuse / religieuse, traditionnelle, occulte, et ritueks personnels)
  • Askevis-leherpeux (1978)

    Propose 4 types de superstitions :( Pures / traditionnelles, occultes / quasi religieuses, relatives aux erreurs scientifiques, relatives à la controverse scientifique )
  • Renard

    La superstition est liée aux notions de chance et de malchance
  • Legros
    La superstition est une croyance et parfois un acte dont la finalité est pour l'individu de porter chance ou de conjurer au mauvais présage.
  • Gardair & Roussiau, 2014

    La superstition est un processus d'adaptation basée sur le contrôle de l'interaction entre le sujet et son environnement. -> lié aux notions de chance propres à une culture
  • Favret Saada
    (2009)Montre la persistance de la sorcellerie jusque dans les années 70 dans les bocages normands.
  • Thierry Ripoll
    « Croire »
  • Gallup (2005)

    Mesure la croyance des Américains au paranormal
  • Boy 2000

    Croyance des français au paranormal.
  • Favret-Saada (1981)

    étude qui s'appelle "Les mots, la mort, les sorts" -> basculement du chercheur dans la superstition
  • Evans-Pritchard (1972)

    Chercheur -> explique qu'il a des difficultés à faire des différences entre la science et la croyance
  • Camus (1986)

    → En voiture, une voyante lui avait prédit un prblm → accident → croyance interne, synchronicité jungienne = hasard qui fait sens pour l'individu
  • Vyce (1997)

    Montre que de jeunes adultes peuvent être plus sensibles à la superstition que des personnes plus âgées
  • Delestre 1997
    Etude sur les 15-19 ans : Ils déclarent avoir des gris-gris, des chiffres porte bonheur
  • Good 2000
    Montre une tendance chez les femmes à + adhérer à des croyances supersitieuses
  • Renard 1998

    Dit que les F ne sont pas + supperstitieuse mais que les supperstitions sont différentes :
  • Deconchi et Hurteau 1998

    Etudient le lien entre la privation de contrôle congnitif et le recours aux croyances.
  • King, Burton, Hicks & Drigotas, 2007

    Etude sur la loi de similarité
  • Rozin et Nemeroff (1989-1990)

    Etude sur la loi de la contagion
  • Tylor 1871

    "La civilisation primitive" : une des premières recherches où on a tenté de formaliser la pensée de groupes sociaux spécifiques.
  • Frazer (1911-1915)

    "Le rameau d'or". C'est une compilation historique et culturelle des croyances : à l'origine des 3 lois.
  • Hubert et Mauss (1902-1903)

    Enrobent le fait magique autour de 3 points : les traditions à l'origine des rites, la dimension sociale du magicien qui appartient à des corporations spécifiques, et les croyances associées aux actes magiques.