Avant, il y a avait d'un côté des psy qui réfléchissaient aux comportements, aux souvenirs, aux émotions, pour eux la matière grise n'était pas très intéressante
Hippocrate va parler du cerveau comme étant le centre des sensations, de l'intelligence et va commencer à reconnaitre l'importance du cerveau dans le comportement humain
Malgré ses limites, la phrénologie a essayé d'expliquer le comportement humain en se focalisant sur la tête / le crâne, en jetant ainsi les bases pour les neurosciences cognitives
Entre le stimulus (ce que l'on voit, entend, perçoit avec le corps) et la réponse (le mot prononcé…) il y a avait une boite noire = le cerveau, la cognition, l'intelligence, ce que l'on ne peut pas étudier. Début de vouloir ouvrir la boîte noire.
Beaucoup de chercheurs ont commencé à penser que, afin de comprendre la relation entre comportement et esprit, il fallait regarder ce qui se passe dans le cerveau
Débat début des années 90 : Est-ce que les données des neurosciences peuvent réellement apporter des informations utiles aux modèles psychologiques du fonctionnement cognitif ?
Dans le cas des patients, certains déficits dans le comportement pourrait indiquer la fonctionnalité associée à une région, mais aussi une réorganisation de cette fonction
Beaucoup de psychologues et neuroscientifiques se sont intéressés pendant 20-30 ans à ce cas, en ouvrant un grand débat sur les « systèmes de mémoire »